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1.
Le
droit de disposer
:

De
tout temps le droit de disposer
a été d'actualité.
Si l'on revient sur les effets habituels
sans forcément remonter au
delà de 1828 où le
cadastre n'existait pas, les constructions
étaient faites par besoin
et nécessité dans
des conditions sommaires pour satisfaire
un logement souvent de fortune où
le plancher en terre battue était
la norme. Les gens vivaient de peu
où le mot "confort"
était inconnu de leur dictionnaire
tout comme le mot "commodités"
qui se trouvaient dans l'espace
ouvert sur le monde. Pour rappel
le premier cadastre a été
établi, à Plonéour-Lanvern,
en 1829 par Jean
Alain CARVAL premier
maire de Plonéour-Lanvern.
Les constructions en pierres, revêtues
d'un toit de chaume suffisaient
à leurs besoins d'antan.
Le droit de disposer de ce que l'on
possédait était un
maître mot dans les campagnes
ou les bourgs de campagne où les
différences n'étaient
pas forcément visibles. Au
fil des années, les règles
ont tellement changé que
le droit de disposer n'est qu'en
fonction des règles dictées
par une caste sans concertation
avec la population. Cela amène
des frictions entre les décideurs
et les assujettis aux décisions
parfois arbitraires ou controversées.
Le droit du sol est un sujet très
complexe où même propriétaire
le droit de disposer doit être
soumis à accord. C'est ainsi
que certains braveront les interdits
pour jouir de leurs biens patrimoniaux
comme d'une paire de lunettes. Les
constructions sans permis seront
de la partie sans que les autorités
puissent les éradiquer. La
complexité du sujet est tel
que même les décideurs
seront incapables d'expliquer la
totalité d'un PLU qu'ils
ont eux-mêmes concocté
car souvent "hors sol"
des réalités du terrain.
Cela mettra en évidence l'appel
à des organismes extérieurs
tablant des orientations globales
dictées par des habitudes.
Le gros problème qui se pose
et se posera, sera celui d'expliquer
pourquoi certains ont le droit de
construire quand, dans les mêmes
conditions, d'autres ne le pourront
pas. Certes, il faut un cadre pour
urbaniser mais il faut que ce cadre
soit identique pour tous.
|
2.
Construire
est parfois compliqué
:

Disposer
de son terrain pour construire
n'est pas si simple. Si l'on
habite à la campagne,
même si on possède
un terrain, le vendre est parfois
un chemin de croix car la safer
s'est arrogé tous les
droits pour servir une catégorie
de professionnels agricoles.
Le droit de disposer est donc
restreint, vaut autant ne rien
avoir parfois. Cela crée
moins de soucis tout comme acheter
en campagne si l'on n'est pas
agriculteur. C'est ainsi que
beaucoup ont quitté la
campagne pour s'en aller en
ville, car ils seront flics
ou fonctionnaires jusque ce
que la retraite les arrête.
Tout le monde ne pourra choisir
cette profession et ils seront
casés dans des "centres"
qui sont des cités où
la proximité ne rime
pas avec qualité de vie.
Ceux qui ont eu la chance de
construire en campagne ont bénéficié
d'un avantage non négligeable
mais il y a 50 ans la safer
lorgnait déjà
les obligations des agriculteurs
qui souhaitaient devancer l'heure
de la retraite en partageant
leurs biens à leurs enfants.
Vendre était dans le
langage "impossible"
ou parfois pouvait se faire
vu la situation de l'endroit.
Il restait et reste la solution de la donation
qui échappe, mais pour
combien de temps encore, à
cette obligation. Acheter en
campagne s'avère parfois
un problème comme ici
pour
finir un tribunal. Le droit
de disposer de ses biens est
contrarié par le droit
des autres à préempter
selon des règles préétablies
en faveur de certains au détriment
des autres. Construire s'annonce
compliqué car le prix
des terrains ne cesse de grimper
alors qu'en campagne il demeure
à cinquante centimes
le mètre carré.
|
3.
Construire
sans permis, un risque majeur
:

Les
règles d'urbanisme
sont écrites dans
le PLU.
Chacun doit suivre les documents
écrits et les documents
graphiques à peine
d'être obligé
de revoir ses plans, au
risque de voir s'appliquer
les dispositions l'obligeant
à régulariser
les situations. Le code
de l'urbanisme doit être
respecté comme le
code de la route. Rouler
à contresens sur
une route vaut une amende
et un retrait de permis
de conduire. Construire
sans permis vaut amende
et retrait des constructions
édifiées sans
autorisations. A l'époque,
avant les POS et PLU, il
était courant d'édifier
des bâtiments, notamment
dans les fermes, sans se
préoccuper des demandes
de permis. L'urbanisation
des villes et la réduction
des constructions en campagne
viennent intégrer des
règles à tous.
Le fameux ZAN et les règles
en zone A ont modifié
les habitudes. Il faut savoir
que toute construction génère
des impôts locaux
et taxes foncières,
que la commission locale
des impôts peut se
déplacer aux fins
de vérification des
édifices construits
sans autorisations. Plusieurs
cas peuvent se présenter,
à savoir une demande
de régularisation
qui doit être conforme et rigoureusement
exacte aux dimensions, plans,
nature des travaux et nature
des matériaux. La
commune est en droit de
dresser un procès
verbal de carence au titre
du code de l'urbanisme,
qui rappelle les conditions.
La commune se doit de saisir
le préfet, le procureur
de la république
et les services de gendarmerie
de cet état de faits
sans délai.
Les édifices
ainsi construits contreviennent
aux règles et au
code de l'urbanisme, au
PLU en vigueur, ou l'emploi
de matériaux ne respectant
pas les normes, peuvent
être appelés
à être démolis
afin de retrouver la zone
dans l'état d'origine.
Le risque de construire
sans respecter toutes les
obligations du PLU, du code
de l'urbanisme peut être
lourd de conséquences
suivant la surface construite,
la nature et le non-respect
des normes en vigueur. En
cas de demande de régularisation,
dans le cas où elle
rejetée, il faut
s'acheminer à modifier
les données, plans
voire détruire ce
qui ne peut pas correspondre.
Il y a lieu aussi de savoir
qu'il n'est pas possible
de construire sur des anciennes
ruines sans avoir demandé
un changement de destination.
Or à Plonéour-Lanvern,
seuls les bâtiments
étoilés
sont
susceptibles de changer
de destination, faut-il
encore le demander. Quant
aux ruines, si on veut les
détruire, il faut
savoir que depuis 2007,
il est obligatoire de demander
un permis de démolir.
Faire une déclaration
préalable pour construire
totalement un édifice
ancien, étoilé
ou non, ne peut être accepté
et sera refusé. Toutefois,
une DP peut suffire à
modifier la distribution
du bâtiment sans toucher
aux murs porteurs. En cas
d'ouverture de fenêtres
ou de portes, une demande
de permis de construire
est obligatoire. Il faut
attendre l'accord de la
commune avant d'entreprendre
les travaux.
|
4.
Les
conséquences
:

Construire
sans permis implique
des conséquences
que le législateur
a prévu. Un mur
construit sans autorisation
pourra trouver une solution
à déposer
une demande de régularisation
à condition de
présenter des
plans qui entrent dans
le cadre de la règlementation.
Une extension faite
de la même manière
peut être plus
problématique.
Il y a lieu de faire
attention, dans tous
les cas, que ce soit
mur, maison, extensions,
à ce que les
plans sont rigoureusement
identiques à
ce qui a été
construit à peine
de voir la demande de
régularisation
refusée. Dans
le cas où la
construction a été
faite au mépris
des règles et
obligations en vigueur,
un procès-verbal
pourra être dressé
dans les formes légales
par une personne assermentée
à cet effet.
La suite se trouve dans
les décisions
de la justice puisqu'il
est fait obligation
de transmettre sans
délai, le procès-verbal
de constat. Au pire
des cas, une démolition
est possible sans oublier
les amendes. Un choix
à la disposition
de celui qui prend le
risque de contrevenir
aux dispositions du
code de l'urbanisme.
A Plonéour-Lanvern,
il y a 4 monuments historiques
classés qui oblige
à demander un
avis de l'architecte
des bâtiments
de France, pour toute
modification, ajout
même de panneaux
photovoltaïques.
Bétonner un espace
dans un lieu
préservé
a ses limites où
la
démolition va
rimer avec sanctions.
|
5.
Un
précédent
:

A
Plonéour-Lanvern,
le
sujet
de constructions
sans permis envahit
le conseil municipal
où l'opposition
questionne le maire
pour obtenir des
précisions
sur un cas avéré
pour lequel ses
services ont dressé
un procès-verbal
d'infractions pour
la construction
d'éléments
sans obtenir d'autorisation
requise. Un procès-verbal
établit toujours
un constat précis
où les infractions
sont caractérisées,
avec un détail
complet des réalisations.
Le propriétaire
doit se soumettre
aux aléas
des suites à
venir si tant est
que les règles
d'urbanisme ont
été
bafouées.
Le cas expliqué
a connu un suivi
hors normes par
une sucession d'acceptations
de demandes de permis
puis de refus jusqu'à
l'obtention du permis.
Dès lors
qu'un procès-verbal
est établi,
les services territoriaux
doivent faire parvenir
au préfet,
procureur, gendarmerie
et pétitionnaire
la communication
des infractions
urbanistiques dans
un prompt délai. L'autorité
municipale dira
publiquement lors
du conseil que,
ce cas à
parcours atypique
est unique, que le
procureur a "émis
un avis de classement
à auteur"
estimant qu'il n'y
avait pas lieu de
poursuites pénales.
Cela équivaut
à dire que
construire sans
permis, bien qu'ayant
enfreint toutes
les règles
urbanistiques, n'est
pas l'objet de poursuites
judiciaires. Un
cas qui amènera
une réflexion
puisque dans ce
cas, une jurisprudence
s'installe, banalisant
des constructions
en violation du
règlement
du PLU
en vigueur. Cela
pourrat déboucher
sur une non-poursuite
pénale pour
des constructions
sans permis demandé.
Le PLU
prendrait du plomb
dans l'aile, les
propriétaires
disposeraient de
leurs biens comme
ils le désirent
sans qu'il puisse
y avoir de poursuites.
En fait, ce serait
le PLU
qui serait mis à
l'index puisque
son non-respect
entrerait dans une
jurisprudence de
fait. Tout
le monde pourrait
s'affranchir de
demande et faire
comme il a envie
sans craindre les
foudres urbanistiques
et judiciaires.
Le
droit de disposer
reprendrait ses
droits comme au
temps d'autrefois
où les règles
d'urbanisme
n'existaient pas
en matière
de constructions.
|
6.
Case
départ
:

Dès
lors qu'à
Plonéour-Lanvern,
construire sans
permis n'est
pas répréhensible,
on revient à
la case départ
comme avant
les obligations
d'obtenir un
permis. Le fameux
POS, plan d'occupation
des sols, est
renvoyé
à des
temps anciens
ne nécessitant
aucune demande
puisque ces
services-là
n'existaient
pas. Chacun
construisait
où il
voulait chez
lui puisque
c'était
ainsi. Personne
ne trouvait
à redire
puisque la norme
était
de faire chez
soi ce que l'on
voulait et de
disposer à
sa guise. Toutes
les règlementations
qui suivirent
l'étaient
pour cadrer
une coordination
de constructions
dans des règles
précises.
A l'époque
le
droit de disposer
était
tel que même
un plan n'était
pas obligatoire
donc c'était
fait un peu
comme on voulait
sans même
tenir compte
des métriques
et des réalisations.
Constuire suffisait
à suivre
l'idée
de monter des
murs, à
effectuer des
travaux dans
cette idée
qu'être
chez soi est
un droit inviolable
et que l'on
dispose de ce
droit le plus
pur puisque
les règlementations
n'existaient
pas. Aujourd'hui
l'administratif
et ses règles
vont battre
de l'aile au
profit d'une
liberté
retrouvée
des temps jadis.
Toutes ces vieilles
bâtisses,
veillies par
le temps, pourront
reprendre vie
à torde
le cou à
un PLU
plombé
par les réalités.
Il ne reste
plus qu'à
le modifier
pour qu'il soit
d'équerre
avec les réalités
du terrain puisqu'il
est démontré
que construire
sans permis
est permis.
|
7.
Un
cas interrogatif
:

Il
est évident
que lorsque
des conseillers
municipaux
interrogent
la maire
de la commune
sur un cas
de construction
sans permis,
à
l'origine,
la question
de ces réalisations
se pose.
Se mettre
en conformité
avec les
règles
d'urbanisme
et du PLU
en vigueur,
nécessite
une bonne
connaissance
du sujet.
L'explication
donnée
tend à
dire à
une série
de permis
refusés
pour aboutir
à
une acceptation.
Qu'importe
les raisons,
en amont
de la construction,
cela démontre
qu'il est
possible
de construire
sans permis
puis venir
régulariser
par la suite
ses édifices.
Cela était
connu mais
assorti
de refus
à
répétition,
cela ne
manquera
pas d'interroger.
Dès
lors que
le pétitionnaire
a en mains
le fameux
sésame,
il peut
librement
disposer
de ce qui
était
considéré
comme une
construction
illégale.
Cela va-t-il
avoir des
suites dans
le comportement
des plonéouristes
qui se verront
refuser
une ouverture
de fenêtre,
des vélux,
une barrière,
un mur au
nom d'une
certaine
jurisprudence
locale.
|
8.
Pour
une
dalle
et un
abri
:

Pour
un abri
de jardin
qui
ne respecte
pas
les
dimensions
et une
dalle posée
sans
autorisation
valent
une
condamnation.
Il est
évident
que
la question
de la
régularisation
est
demandée,
qu'une
amende
aux
infractions
du code
de l'urbanisme
a été
délivrée.
Régulariser
ne tient
donc
pas
à
effacer
l'effraction
à
posteriori
sinon
il n'est
plus
besoin
de service
instructeur.
Certains
restaient
dire
qu'une
démolition
était
rarement
demandée
et exécutée.
Le présent
verdict
montre
que
ce n'est
pas
le cas.
Pourtant
c'est
assez
simple
de procéder
à
une
demande
près
de sa
mairie
mais
parfois
les
constructions
sont
faites
dans
des
lieux
impossibles.
Le PLU
est
opposable
à
tous
mais
qui
a le
courage
de le
lire
en entier,
de se
souvenir
de tous
les
critères
le composant,
peut-être
pas
même
les
élus
qui
pourraient
avoir
une
interprétation
différente
des
textes.
L'infraction
constituée
suit
souvent
son
cours
d'une
manière
ou d'une
autre,
créant
parfois
une
certaine
jurisprudence.
|
9.
Un
muret
qui
dépasse
:

Pour
un
muret
qui
dépasse
sur
la
voie
publique
alors
qu'une
déclaration
préalable
avait
été
déposée
montre
qu'au
delà
des
constructions
sans
permis,
la
sanction
peut
s'élever
pour
non-respect
des
prescriptions.
Dans
tous
les
cas,
le
maire
doit
établir
un
procès-verbal,
sans
état
d'âme,
dès
lors
qu'il
est
porté
à
sa
connaissance
une
construction
sans
permis
ou
autre
infraction
et
le
transmettre
au
préfet,
procureur
et
gendarmes.
Ne
pas
le
faire
irait
dans
le
sens
où
il
est
permis
de
construire
sans
permis.
Pour
constater
l'infraction,
après
avoir
pris
rendez-vous
près
du
propriétaire,
il
suffit
au
maire
de
prendre
deux
témoins
et
de
se
rendre
sur
les
lieux
avec
deux
témoins
n'étant
pas
aux
services
du
maire
d'une
façon
ou
d'une
autre.
De
tout
temps
cela
a
existé
de
construire
sans
autorisation
mais
aujourd'huil
les
lois
sont
différentes
et
nul
n'est
censé
les
ignorer.
Le
faire
serait
prendre
des
risques
avec
des
condamnations
et
l'obligation
de
détruire
les
constructions.
|
10.
Un
vieux
bâtiment
d'habitation
:

Dans
la
campagne
plonéouriste
les
anciens
bâtiments
de
ferme
ont,
pour
la
plupart,
été
des
maisons
d'habitation.
Ces
maisons
ont
été
bâties
en
pierre
du
pays
car
la
brique
n'existait
sans
doute
pas
encore.
Des
constructions
sommaires
recouvertes
de
chaume
abritaient
à
la
fois,
dans
certains
cas,
le
bétail
en
dessous
et
un
logement
précaire
au
dessus
dont
la
présence
animale
en
bas
faisait
remonter
un
peu
de
chaleur.
Dans
ces
bâtiments
l'échelle
servait
à
y
accéder.
De
telles
bâtisses
ont
disparu
dans
certaines
fermes
mais
dans
d'autres
elles
ont
été
rénovées
où
les
pierres
des
façades
ont
été
jointées
pour
donner
un
cachet
nouveau.
Les
murs
n'ont
pas
oublié
les
passages
d'autrefois
où
dans
ces
logements
étroits
la
vie
a
commencé
dans
ces
endroits
bien
avant
la
révolution
française.
Des
écrits
sont
restés
comme
mémoire
de
ces
temps
anciens
où
parfois
les
affres
du
passé
sont
gravés
dans
ces
pierres.
Aujourd'hui
quelle
destination
est
à
prendre
pour
ces
bâtiments
où
vaches,
cochons,
chevaux,
volailles
ont
logés
durant
des
siècles
avec
les
exploitants.
Comme
beaucoup
d'entre
elles,
ces
constructions
ont
été
édifiées
sans
permis
car
ces
obligations
n'existaient
pas.
Dire
que
de
telles
granges,
écuries,
étables
sont
des
anciennes
habitations
n'est
pas
totalement
faux
pour
la
bonne
raison
que
c'était
la
norme
de
l'époque
d'une
cohabitation
avec
les
animaux.
La
vie
paysanne
était
rustre,
sans
confort
et
sans
hygiène.
De
plus,
dans
beaucoup
de
fermes
des
journaliers
passaient,
dormaient
dans
la
paille
près
des
animaux
dans
un
inconfort
habituel
de
l'époque.
Les
gens
dormaient
tout
habillés,
se
lavaient
de
temps
en
temps
dans
ce
monde
où
la
rigueur
administrative
n'avait
pas
encore
tiré
ses
plans.
En
campagne
les
agriculteurs
construisaient
des
bâtiments
selon
leurs
besoins
sans
se
soucier
d'un
quelconque
permis
car
ils
étaient
chez
eux
et
tout
était
permis.
Dans
le
nouveau
PLU
des
bâtiments
ont
été
étoilés
mais
c'est
d'ordre
administratif
auquel
on
ne
peut
pas
déroger.
Si,
par
hasard,
un
vieux
bâtiment
devenu
d'utilisation
agricole
obtenait
un
permis
de
réhabilitation
sous
prétexte
avoir
été
une
maison
d'habitation
tous
les
bâtiments
en
pierres
l'ont
été
et
les
étoiles
mises
sur
des
bâtiments
ne
seraient
qu'une
sélection
au
grand
dam
des
autres.
Dire
que
ces
bâtiments
étoilés
peuvent
changer
de
destination
projète
dans
la
réalité
d'autrefois.
Tous
ces
bâtiments
ont
été
des
habitations,
donc
le
changement
de
destination
n'est
même
pas
à
considérer
sauf
s'il
est
tenu
compte
de
l'imposition
où
leur
destination
est,
de
fait,
agricole.
Or
ce
serait
la
vision
la
plus
logique
justifiant
les
étoiles
où
pour
d'autres
sans
l'astre,
le
bâtiment
terminerait
sa
vie
sous
les
mâchoires
d'acier.
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