PLONÉOUR-LANVERN
|
|
1.
Le
réaménagement
du
bourg
:
Dans
le
cadre
du réaménagement
du
bourg,
il
existe
aussi
le
problème
des
maisons
abimées
par
le
temps,
désertes
et
en
quête
de
nouveaux
propriétaires.
Que
ce
soit,
comme
ici,
rue
Henri
Lautrédou
attenant
à
un
ancien
commerce-bar
fermé,
on
y
retrouve
des
cas
identiques
dans
d'autres
artères
de
la
ville
mais
également
dans
des
quartiers
proches
du
centre
ville.
Dans
la
rue
Jean
Jaurès,
jadis
hyper
commerçante,
l'hôtel
restaurant
des
voyageurs
va
voir
une
embellie
mais
de
l'autre
côté,
place
du
19
mars
1962
d'autres
bâtiments
ont
vieilli
et
ont
besoin
d'un
ravalement
de
jeunesse.
Certains
des
bâtiments
sont
privés
quand
d'autres
sont
publics.
L'embellisement
du
bourg
passe
aussi
par
la
mise
en
état
de
ces
bâtiments. |
2.
Un
bâtiment rue
des Alliés
:
Ce
bâtiment,
rue
des
Alliés,
a
été
un
commerce
florissant
pendant
des
années.
C'est
une
grande
batisse
avec
des
jardins
à
l'arrière
qui
servaient
pour
la
culture
de
légumes
de
ce
maraîcher.
C'est
un
bâtiment
proche
du
centre
ville
qui
pourrait
servir
pour
la
construction
de
logements.
Sa
destination
ne
pourra
qu'être
celle-là
car
personne
ne
sera
à
même
de
le
faire
dans
le
but
d'un
commerce.
Au
lieu
de
programmer
des
constructions
bien
plus
à
l'extérieur,
il
serait
plus
judicieux
de
porter
sa
réflexion
sur
ce
lieu
qui
a
l'avantage
de
se
trouver
sur
la
route
de
Quimper. |
3.
Rue
René
Le
Berre
-
Route
de
Pont-l'Abbé
:
Sortant
du
bourg,
se
dirigeant
vers
Pont-l'Abbé,
il
est
impossible
de
ne
pas
apercevoir
cette
grande
batisse
sur
4
niveaux
puisqu'il
y
a
un
sous-sol.
Pendant
quelques
années,
le
directeur
général
puis
président
directeur
général
de
l'entreprise
de
conserves
se
mettait
tranquillement
à
cet
endroit
pour,
mensuellement,
établir
les
bulletins
de
paie
des
employés
administratifs.
Depuis
1989,
cette
maison
n'est
plus
habitée.
Elle
est
très
grande,
ornée
de
ses
pierres
de
taille
en
haut
et
en
bas
de
chaque
fenêtre.
Il
vrai,
pour
qui
connaît
l'histoire,
l'emploi
de
ces
pierres
de
taille
à
cet
endroit
a
valu
un
léger
problème
à
cause
de
la
présence
d'un
monument
historique
tout
proche.
Le
propriétaire,
pour
me
l'avoir
dit
lui-même,
se
demandait
d'abord
quel
état
"ce
monument
historique"
Lorsqu'il
lui
est
dit
qu'il
s'agit
du
menhir
sur
la
place,
il
se
dépêcha
de
demander
d'aller
lui
chercher
une
carte
postale
à
la
librairie
de
la
place
qu'il
envoya
aux
services
lui
refusant,
momentanément,
la
mise
en
place
de
ces
pierres.
Ce
ne
fut
que
de
courte
durée.
Un
jour
cette
batisse
va
sérieusement
accusé
les
affres
du
temps.
Déjà,
il
semble
que
des
carreaux
manquent
au
grand
plaisir
des
oiseaux
qui
peuvent
se
mettre
à
l'abri.
C'est
une
maison
privée
donc
peu
d'emprise
à
un
changement
pour
l'instant.
C'est
la
même
chose
pour
la
maison
ci-dessous. |
4.
Lotissement
Raphalen :
Au
coeur
du
Lotissement
Raphalen,
cette
maison
était
une
maison
qui
servait
d'habitation
de
fonction
de
certains
cadres
de
l'entreprise
de
conserverie
Raphalen.
Ce
lotissement
nommé
"Raphalen"
venait
de
l'entreprise
éponyme.
La
conserverie
Raphalen
a
favorisé
la
construction
de
logements
pour
les
employés
de
l'entreprise.
Cette
maison
n'est
pas
habitée
depuis
presque
50
ans.
Il
y
a
une
possibilité
de
constructions
dans
ce
secteur.
Cet
endroit
est
privé
donc
il
faudra
sans
doute
attendre.
La
même chose
existe dans beaucoup
de hameaux. Les
zones Nr ayant été
supprimées
sont un handicap
majeur à
établir un
cadre
de
vie
meilleur. D'un côté
des constructions
servent à
densifier le bourg
quand d'autres secteurs
sont laissés
aller à l'abandon. |
5.
Stangoulinet
:
A
Stangoulinet,
tout proche
des lotissements
des
maisons
neuves et maisons
modernes,
se trouve cette
ancienne habitation.
Dire
:
"Améliorer
ou réfléchir
à
améliorer
le cadre
de
vie
local
: équipements
existants,
déplacements
doux,
stationnement,
énergie
renouvelale.."
ne suffit
pas dès
lors qu'il est
laissé
un cadre aussi
triste en bord
de route proche
de luxueuses
maisons. Ce
n'est pas un
cas unique.
C'est, certes,
une propriété
privée
mais cela n'est
pas une raison
car le cadre
de vie est un
ensemble pour
tous les habitants.
C'est une maison
abandonnée
depuis des années
où il
doit bien avoir
des propriétaires,
sans doute indivis.
Des terrains
ou des maisons
en déshérance
peuvent être
habilitées
pour un
cadre
de
vie
meilleur.
Il existe de
nombreuses habitations
de ce genre
dans certains
hameaux où
la préférence
est laissée
à l'usure
du temps malgré
les souhaits
des habitants
à vouloir
les rénover. |
6.
Rue
Jean
Jaurès-
Hôtel
des
Voyageurs
:
A
2
maisons
de
la
précédente
où
se
trouve
un
médecin,
il
y
a
l'ex-hôtel
des
voyageurs,
qui
développe
une
grand
prise
au
sol
tout
comme
en
hauteur.
C'est
un
vieux
bâtiment
qui
n'est
plus
aux
normes.
C'est
toujours
un
lieu
privé
en
passe
de
créer
des
logements
et
un
commerce.
Ce
lieu
a
été
très
important
car
il
disposait
à
la
fois
d'un
restaurant,
d'un
bar,
de
chambres
d'hôtel
et
dans
son
prolongement
un
autre
bâtiment
servant
pour
le
stockage
des
produits
du
sol.
La
salle
de
restaurant
servait
aussi
bien
pour
les
voyageurs
de
passage,
les
touristes,
pour
des
représentants
venant
à
l'entreprise
Raphalen
qu'à
des
mariages,
banquets
ou
communions
solennelles
à
l'époque.
Situé
Rue
Jean
Jaurès,
une
rue
où
l'on
trouvait
beaucoup
de
commerces
comme
des
petites
alimentations,
une
boulangerie,
deux
bijoutiers, un
coiffeur,
une
petite
librairie,
trois
menuisiers,
un
charpentier
qui
est
aussi
menuisier,
deux
tailleurs
d'habits,
un
assureur,
un
maraîcher,
plusieurs
bars,
un
transporteur,
un
chiffonnier,
un
poissonnier,
une
boucherie-charcuterie,
un
conserveur,
un
grand
magasin
de
droguerie
où
l'on
trouvait
de
tout. |
7.
Rue
Jean
Jaurès
-
Modern
Dancing
:
En
face
de
l'hôtel
des
voyageurs,
il
y
a
une
grande
salle
de
danse
au
nom
de
"Modern
Dancing"
qui
affichait
plein
chaque
week-end
avec
parfois
600
clients. Au
Modern
Dancing,
la
piste
de
danse
servait
aussi
de
restaurant
pour
les
noces
et
autres.
Une
fois
de
manger,
les
tables
étaient
rangées
sur
le
côté
et
les
convives
pouvaient
danser.
Son
avenir
changera
après
l'incendie
le
1er
novembre
1970,
de
la
fameuse
discothèque,
le
"cinq
sept"
à
Saint
Laurent
du
Pont.
Pour
mémoire,
cette
discothèque
n'avait
rien
de
réel
par
rapport
au
permis
de
construire
accordé.
De
plus,
les
travaux
avaient
même
été
effectués
sans
la
demande
de
permis.
Les
ambitions
changeantes
des
responsables
mettaient
en
cause
divers
points
de
sécurité.
Pour
cela
il
avait
fallu
que
tous
les
dancings
revoient
leurs
normes
de
sécurité.
Il
n'y
avait
qu'une
seule
entrée/sortie
au
Modern
Dancing.
Par
la
suite
une
seconde
fut
faite
dans
le
prolongement
des
tables
et
ouvrant
vers
le
bas
car
la
salle
se
trouve
au
1er
étage.
Puis
ce
sera
l'achat
de
la
salle
"les
mouettes"
route
de
Pont-l'Abbé,
où
il
y
a
bien
2
entrées
et
donc
2
sorties. |
8.
Rue
Jean
Jaurès
:
Ce
bâtiment,
au
même
propriétaire
que
l'hôtel
des
voyageurs
servait
au
stockage
des
produits
du
sol.
Il
ne
sert
plus
depuis
longtemps
et
peut
être
une
occasion
de
densifier,
à
cet
endroit,
le
bourg.
Il
y
a
de
la
place
pour
faire
un
lotissement
mais
faut-il
encore
que
ce
soit
dans
les
choix
du
PLU
en
cours.
De
toute
évidence,
il
y
aura
lieu
de
réhabiliter
ces
lieux
afin
de
donner
une
autre
visage
au
bourg
qui
se
meurt
doucement.
A
cet
endroit
la
réhabilitation
de
cet
immeuble
donnera
un
éclat
à
cette
rue
qui
va
se
trouver
en
sens
unique.
Faire
cu
centre-bourg
un
lieu
convivial
et
propre
n'est
pas
la
seule
façon
d'équilibrer
la
commune.
Etablir
un
cadre
de
vie
sur
l'ensemble
du
territoire
est
essentiel.
Dans
la
réthorique
de
"densifier
et
redynamiser
le
bourg,
en
réduisant
la
consommation
foncière,
afin
de
favoriser
une
extension
des
parcelles
agricoles
ne
peut
être
valable
qu'à
condition
de
ne
pas
laisser
les
campagnes
aux
prises
d'un
simple
quarteron qui
mènerait
la
vie
des
hameaux
à
leur
sens,
souvent
épris
d'un
égo
surdimensionné.
Les
nouveaux
quartiers
créés
sont
propres.
Nul
ne
peut
imaginer
de
voir,
par
exemple
les
rues
des
quartiers
des
Lavandières,
des
Roches
Vertes
ou
de
l'Impasse
maculés
de
boue
comme
vu
ci-dessous. |
9.
Place
Victor
Hugo
:
Cet
ensemble
de
bâtiments
est
ancien
puisqu'il
a
servi
pour
le
négociant
Y.
Le
Garrec,
gendre
de
S.
Raphalen.
Il
appartenait
d'ailleurs
à
Raphalen
comme
bien
d'autres
terrains
sur
la
route
de
Saint
Jean.
Par
la
suite,
c'est
son
fils,
F.
Le
Garrec
qui
s'installe
comme
photographe.
Il
le
vendra
à
C.
Leroy
photographe
lui
aussi.
Depuis
leur
retraite,
les
époux
Leroy
essaient
de
le
vendre.
A
priori,
il
y
autait
un
acheteur
intéressé
pour
créer
des
logements
et
un
commerce.
Les
bâtiments
développent
une
grande
surface
avec
un
accès
sur
la
rue
de
Stalingrad,
désormais
nommée
rue
de
la
Forge.
C'est
en
plein
bourg.
Il
y
a
un
potentiel
à
développer
pour
les
seniors
au
lieu
de
les
envoyer
dans
la
rue
du
vieux
moulin
où,
pour
venir
en
centre
ville,
il
est
à
se
demander
comment
ils
pourraient
monter
la
rue
neuve
ou
même
la
rue
Henri
Lautrédou.
De
plus
situé
en
plein
bourg
ils
n'auraient
aucune
difficulté
à
se
rendre
puisqu'ils
y
seraient.
Sur
la
route
on
voit
des
traces
de
raccords
qui
sont
consécutifs
aux
travaux
concernant
les
canalisations
à
changer. |
10.
Rue
neuve
:
Ces
murs
sont
les
témoins
d'un
passé
abritant
deux
habitations
en
murs
de
pierres.
A
l'époque
les
maisons
étaient
faites
ainsi.
Je
me
souviens
très
bien
de
ces
endroits
où
les
jours
d'école
j'y
passais
quatre
fois
par
jour
au
minimum.
Et
les
souvenirs
me
disent
et
rappellent
que
cette
rue
était
connue
par
un
autre
nom
en
breton.
Il
fallait
savoir
où
mettre
les
pieds
pour
ne
pas
souiller
les
classes.
Pour
aller
à
l'école
la
pente
nous
emmenant
mais
le
retour
était
plus
difficile
surtout
à
vélo.
Cet
endroit
reste
vacant
à
une
construction
vraiment
proche
du
centre
ville.
La
rue
étroite
peut
empêcher
quelqu'un
de
s'installer
tout
comme
l'accès
en
forte
pente.
Les
anciens
marchaient
et
les
déplacements
se
faisaient
ainsi.
Se
mettre
à
cet
endroit
oblige
à
stationner
au
bord
ou
de
mettre
un
garage
dont
l'accès
serait
délicat
mais
pas
impossible.
La
situation
du
centre
ville
est
en
hauteur
par
rapport
à
tous
les
autres
axes
arrivant
sur
la
ville.
Terminer
une
grande
balade
à
vélo
disait
qu'il
fallait
terminer
par
monter
sur
Plonéour-Lanvern,
après
avoir
effectué
la
centaine
de
kilomètres,
obligeait
parfois
à
réduire
la
distance. |
11.
Rue
Ernest
Renan
:
Ce
bâtiment
aux
murs
construits
en
pierres
du
pays
a
été
inauguré
le
21
novembre
1951,
avec
un
intérieur
ressemblant
à
petit
Olympia.
C'était
le
Menhir
Cinéma
qui
verra
un
public
nombreux
assister
aux
différentes
projections
du
moment.
Il
faut
se
rappeler
que
le
propriétaire
ne
vit
jamais
le
public
à
cet
endroit
puisqu'au
matin
de
l'inauguration
sa
vie
s'arrêtait
dans
le
virage
de
Ty
Crohen.
L'excellent
coureur
cycliste
qu'il
était
avait
voulu
aller
plus
vite
que
le
téléphone.
Mon
père,
connaissant
bien
les
lieux
pour
avoir
vécu
à
Kéravel
pendant
des
années,
dans
sa
jeunesse,
disait
toujours
la
dangerosité
de
cet
endroit.
Il
devait
traverser
la
route
en
venant
de
l'étable
de
Kéravel
pour
faire
aller
paître
ses
vaches
dans
les
champs
avoisinants
ou
les
prairies
en
contrebas
ou
effectuer
des
travaux
dans
les
champs
d'en
face.
Ce
bâtiment
peut
avoir
une
autre
destination
afin
d'obtenir
un
cadre
de
vie
agréable
à
cet
endroit
de
la
petite
cité. |
12.
Ancienne
briqueterie
Le
Hellen
:
Derrière
ces
murs
de
l'ancienne
entreprise
de
matériaux
il
y
a
un
grand
potentiel
d'espace.
La
motoculture
n'est
plus
en
activité.
Il
ne
faut
pas
oublier
que
cette
entreprise
était
également
où
est
"Chausson"
aujourd'hui.
Il
y
avait
une
fabrique
de
briques
qui
fonctionnait
très
bien.
Ce
bâtiment
laisse
des
souvenirs
à
ceux
qui
ont
vu
les
ouvriers
sortir
de
cette
entreprise.
Aujourd'hui
il
ne
reste
que
ces
bâtiments
et
ceux
de
l'arrière
qui
ne
servent
plus.
C'est
l'occasion
de
reprendre
cette
prise
au
sol
car
à
cet
endroit
aucune
agriculture
ne
peut
s'installer.
Il
faut
des
espaces
plus
grands.
Les
toits
sont
recouverts
d'éverites
amiantés.
C'était
la
norme
à
l'époque.
Eviter
la
consommation
d'espace
en
utilisant
celui
qui
est
ou
a
été
utilisé
jadis
serait
une
bonne
idée.
Il
y
a
bien
d'autres
sur
la
commune
pour
permettre
les
extensions
dont
il
est
besoin
sans
consommer
du
foncier.
Il
existe
des
parcelles
agricoles
jamais
travaillées
où
la
nature
reprend
ses
droits. |
12.
Ancienne
briqueterie
Le
Hellen
:
En
plein
bourg
cette
parcelle
avec
un
bâtiment
prend
le
soleil
depuis
quelques
années.
Jadis
des
autobus
ou
des
cars
garnissaient
la
cour.
Par
la
suite
une
autre
activité
prend
place.
Les
gens
passent
et
trépassent,
la
terre
reste.
Un
tel
endroit
peut
être
disponible
pour
construire
des
maisons
ou
des
immeubles
pouvant
recevoir
des
habitants
en
quête
de
logements.
De
plus,
la
proximité
avec
le
centre
bourg
serait
un
atout
pour
les
résidents
d'autant
que
la
surface
est
plane,
que
les
rues
menant
vers
le
bourg
sont
bonnes
et
seront
meilleures
avec
le
projet
de
réaménagement.
Il
est
certain
que
ça
va
se
faire. |
13.
Au
moulin
d'Ascoët
:
Lorsqu'un
permis
d'extension
est
refusé
parce
qu'il
va
emprunter
quelques
mètres
carrés
de,
soit
disant
terrain
agricole
où
personne
ne
peut
passer,
il
est
permis
de
se
poser
des
questions
sur
la
cohérence
des
décisions.
La
recherche
de
terrains
en
friche
peut
s'avérer
intéressante
sur
toute
la
commune.
L'objectif
ZAN
sera-t-il
tenu,
c'est
une
autre
question.
Si
l'on
prend
l'exemple
de
l'ex-usine
Boënnec,
où
des
logements
ont
été
faits
il
reste
un
lot
où
c'est
sauvage
au
coeur
de
ce
rond
point
du
Moulin
d'Ascoët,
visible
à
tous
quand
la
route
est
empruntée.
Il
serait
possible
de
poser
un
ou
plusieurs
logements
sans
consommer
du
foncier.
Vouloir
améliorer
le
cadre
de
vie
c'est
très
bien
mais
il
faut
établir
une
vision
d'ensemble
à
l'instar
d'une
vision
partisane
où
certains
endroits
seront
flambants
neufs
quand
d'autres
fléchissent
sous
le
poids
des
ans.
En
face
l'ancien
lavoir
a
été
supprimé
au
profit
d'une
végétation
désordonnée.
|
Cette
page
sera
complétée
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14.
Météo
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