PLONÉOUR-LANVERN
|
|
1.
Cadre
de
vie
:
Pour
qu'une
ville
soit
attractive
et
tende
à
améliorer
le
cadre
de
vie,
il
faut
que
les
gens
aient
envie
de
venir
s'installer
dans
une
ville
propre
à
tous
points
de
vue.
Dire
:
"Améliorer
ou réfléchir
à
améliorer
le cadre
de vie
local
: équipements
existants,
déplacements
doux,
stationnement,
énergie
renouvelale.."
ne suffira pas
si on
oublie
l'essentiel
sur
les
éléments
existants.
Imaginer
une
amélioration
en
prenant
l'exemple
de
poubelles
bondées,
dépassant
de
tous
bords,
des
existants
ternis
par
le
temps
pour
ne
pas
dire
sales,
n'invite
pas
les
gens
à
y
venir.
Lorsqu'en
plein
centre
ville
cette
vue
flashe,
une
interrogation
s'impose.
Ces
bacs
poubelles
peuvent
avoir
droit
à
une
douche
où
l'effet
d'un
nettoyeur
pourrait
leur
rendre
l'éclat
du
neuf.
Il
n'y
a
pas
que
ce
secteur
qui
a
besoin
de
nettoyage
car
les
monuments
existants
en
ont
également
tel
le
monument
aux
morts secteur
qui
fait
partie
du
patrimoine
de
la
commune.
Des
existants,
il
n'est
pas
le
seul
dans
ce
cas.
Il
a
été
préféré
ouvrir
la
voie
aux
activités
sportives,
certes
nécessaires,
en
remplaçant
l'herbe
du
terrain
de
football
par
un
terrain
synthétique
au
coût
élevé
tout
en
prenant
la
voie
du
zéro
phyto
au
cimetière,
le
laissant
enherbé
à
maintes
reprises.
A
l'heure
des
choix
il
faut
retenir
le
plus
urgent
car
tout
ne
pourra
se
faire
en
même
temps.
Un
choix
peut-être
cornélien
mais
sans
doute
nécessaire. |
2.
Entrée
du bourg :
Dire
:
"Améliorer
ou réfléchir
à
améliorer
le cadre
de vie
local
: équipements
existants,
déplacements
doux,
stationnement,
énergie
renouvelale.."
ne suffit pas. Depuis
des années, lorsque
les automobilistes viennent
de Pont-l'Abbé, ils
ont d'office la vue de cet
ancien dancing où
les plus grandes vedettes
du bal musette sont venues.
Sur ces marches, jadis Augusto
Baldi, Bruno Lorenzoni,
Harry Williams (fils d'André
Verschuren), Lili Ronarc'h,
et d'autres grands noms,
les pas de ces artistes
les ont gravies. C'était
aussi les mêmes marches
pour les banquets de noce,
des bals populaires où
le maire d'autant, Alfred
Jolivet, faisait vibrer
son violon ou son saxo.
Un lieu où la plus
grande entreprise de la
commune faisait son repas
de fin d'année. Sur
l'estrade le patron remettait
les médailles du
travail aux ouvriers et
ouvrières. C'était
un temps où la commune
vivait avec ses commerces
et ses entreprises. Il ne
reste qu'à l'entrée,
ce vestige abandonné
aux caprices du temps. Le
touriste remarquera toujours
ce qu'il y a de négatif
en balayant le positif.
Il ne s'arrêtera donc
pas. |
3.
Entrée
du bourg :
Dire
:
"Améliorer
ou réfléchir
à
améliorer
le cadre
de vie
local
: équipements
existants,
déplacements
doux,
stationnement,
énergie
renouvelale..."
ne suffit pas. Le
prolongement des marches
d'entrée de la
salle de danse, offre
un spectacle extérieur
que les plonéouristes,
les touristes ne peuvent
pas occulter car c'est
la vision d'entrée
et aussi de sortie de
la ville. Aménager
le bourg sans y mettre
de la couleur le fera
rester terne. Faut-il
pour donner un coup
de nettoyage demander
à des bureaux
d'études, qui
prennent cher, savoir
comment faire. D'étude
et en étude,
de billet en billet,
les études perdurent
au plaisir de ces bureaux
qui savent facturer
qu'importe l'issue.
Le visage du bourg s'est
prolongé dans
une vue peu agréable
qui ne donne pas envie
de s'y arrêter
pour voir un bourg déserté
de ses commerces qui
se sont installés
dans une zone de chalandise
en périphérie
sud de la commune. Il
ne reste que ces murs
tenant debout par habitude
où les graffeurs
s'amusent à décorer
de différentes
manières. La
circulation ralentie
à 30 kilomètre
heure permet aux visteurs
de mieux savourer ces
décors vétustes
et non entretenus. L'âme
a-t-elle disparu dans
cette commune jadis
prospère par
ses entreprises. Les
anciens savaient la
tenir mais leur savoir
a été
oublié tout comme
leurs noms. |
4.
En
plein bourg :
Dire
:
"Améliorer
ou réfléchir
à
améliorer
le cadre
de vie
local
: équipements
existants,
déplacements
doux,
stationnement,
énergie
renouvelale"...
ne suffit pas. Le
prolongement vers le
bourg amène
à voir ce
décor tout
près de l'église.
Des murs noircis
par le temps, des
pierres revouvertes
de mousse et l'herbe
qui pousse sans
que personne ne
se soucie. Des carreaux
cassés de
ce qui fut jadis
un lieu d'aisance
qui est aujourd'hui
fermé. Il
faut trouver un
autre lieu pour
se soulager d'une
envie pressante
sauf que c'est le
parcours du combattant
à la recherche
d'un local. Pas
de panneau pour
le signaler. Cela
ne donne guère
envie de s'arrêter
dans une ville où
tout semble s'être
arrêté
par le temps. L'image
de la ville s'est
ternie ces dernières
années. Il
faudra tout remettre
à plat pour
permettre un cadre
de vie plus agréable
et que les habitants,
outre de trouver
une cité
dortoir, puissent
dire que la ville
vit alors qu'elle
se meurt. |
5.
La
mairie :
Il
est 09:29:54
ce dimanche
5 novembre 2023.
Alors que de
nombreux foyers
sont plongés
dans le noir
depuis la tempête
Ciaran du 1er
au 2 novembre
2023, c'est
désert
dans ce bourg
où il
n'y pas une
âme qui
vive. Les abords
de la mairie,
vieillis par
le temps offrent
une vue où
l'entrée
ressemble à
un bâtiment
délaissé,
les rampes d'accès
ont perdu leur
éclat
parce que la
peinture est
partie. Les
marches pour
accéder
au bâtiment
montrent l'usure
du temps tout
comme les plans
inclinés,
part et d'autre,
où l'on
relève
des manques
au sol. L'usure
du temps montre
l'ossature des
fenêtres
rongée
par la rouille.
L'aspect extérieur
ne fait que
refléter
l'ensemble des
autres existants
qui ne sont
pas entretenus
comme jadis.
Si l'on se déplace
vers des villes
avoisinantes,
l'entretien
est beaucoup
plus suivi.
Alors pourquoi
vouloir augmenter
la population
lorsque le reste
ne suit pas.
Certes, le projet
d'amélioration
est en cours,
toujours dans
des bureaux
d'études
qui, moyennant
factures, vont
s'accaparer
du dossier.
Le temps passe,
passe et passe.
Mais le temps
fait son oeuvre
à rendre
laids ces bâtiments
où les
habitants sont
censés
venir pour différentes
raisons administratives.
La mairie est
une maison commune
où chacun
peut y venir
même pour
consulter des
documents publics.
Il y a une très
grande différence
par rapport
au terrain de
football synthétique
flambant neuf.
Le budget n'est
pas extensible
sauf à
augmenter plus
encore la pression
fiscale, outre
la montée
mécanique
des taux. Les fenêtres
commencent à
fatiguer. Entre
projet et réalité,
la marge est
grande pour
les réalisations
que sans nul
doute, c'est
la prochaine
majorité
qui devra les
faire au prix
d'un sacrifice
sur les autres
projets. Les
dotations de
l'Etat vous
s'amoindrir
car il n'est
plus possible
d'avancer au
delà
des critères
des 3% alors
que la France
est loin d'y
arriver. La
notation AAA
est bien loin
et ce qu'il
en reste risque
encore d'être
dégradé.
Il faut tenir
compte de ces
réalités
car se baser
sur des subventions
"possibles"
n'est pas raisonnable
car il va falloir
se cadrer, au
milimètre,
pour les obtenir
autrement que
sur des promesses.
L'exemple de
la subvention
perdue sur le
terrain synthétique
montre, ô
combien, il
est important
de bien connaître
l'ensemble.
Rêver
est permis mais
lorsque le rêve
s'achève,
la réalité
est présente.
Il faut l'assumer. |
6.
Aux
abords de
route :
Le
cadre de
vie tant
espéré
montre les
limites
où
les incivilités
sont grandes.
Ici, les
bouteilles
en vrac,
ailleurs
des
graffitis
de toutes
sortes sur
les bâtiments
publics
sans que
personne
ne s'en
soucie.
S'il existe
des récupérateurs
de déchets
ménagers
sur la Commune
gérés
par la Communauté
de Communes,
force est
de constater
que l'amas
de ces bouteilles
aux abords
de ces récupérateurs
en bord
de route
montre que
rien n'y
fait. Il
ne suffit
pas d'augmenter
de 11% la
taxe des
ordures
ménagères
pour que
les choses
s'arrangent.
La vie n'est
plus pareille
où
certains
ne se reconnaissent
plus dans
son pays,
sa région
et sa commune.
Au moment
d'une présidentielle
revêtue
de la suppression
de la taxe
d'habitation,
le sujet
des incivilités
était
à
l'ordre
du jour
avec ses
priorités,
assorties
d'amendes.
Tout cela
est tombé
dans les
oubliettes.
Ce n'est
pas en taxant
de plus
en plus
les habitants
que l'ordre
va se rétablir,
c'est plutôt
l'inverse.
Au fond
d'eux-mêmes,
ils se disent
: "où
va l'argent".
Cette photo
montre une
consommation
importante
d'alcool
qui n'a
rien de
nouveau
dans une
commune
qui comptait
près
de 70 bars
dans les
années
60, à
la différence
d'une consommation
à
domicile
dont les
recharges
se sont
en grande
surface.
Ces consommateurs
n'ont même
pas le courage
d'aller
les porter
à
la déchèterie. |
7.
Les
graffitis
:
Ce
coin
de verdure,
où
jadis
les
touristes
venaient
poser
leurs
tentes
pour
passer
quelques
jours
ou quelques
semaines
sur
la Commune,
n'est
plus
tristesse
et désolation.
Tout
a été
cassé
par
incivisme
et non
maitrise
d'une
situation
qui
perdure
et grandit.
Les
graffeurs
ont
marqué
de leurs
empreintes
ces
lieux.
Les
projets
de reconstruction
ne sont
pas
suivi
d'effet
laissant
toujours
la main
à
ces
études
sans
fin
qui
plombent
le budjet.
Les
amateurs
de photos
ou des
spécialistes
ont
fixé
sur
leur
pellicule,
disons
plutôt
sur
leur
carte
mémoire,
d'innombrables
clichés
qu'ils
affichent
sur
les
réseaux
sociaux
pour
montrer
l'incivisme
ou l'abandon
de certaines
institutions.
L'information
circule
à
l'instant
T où
il est
possible
de la
disposer
en direct
absolu.
Cependant,
la photographie
est
un art
et s'il
permet
en direct
de la
voir,
il n'est
pas
possible
de la
diffuser
sauf
à
aller
sur
place
quérir
une
identique.
Ce coin
est
un théâtre
de verdure
où
le spectacle
ressemble
à
des
temps
de guerre.
Il suffit
de mettre
la photo
en noir
et blanc
pour
s'y
croire.
Le
réaménagement
de l'ex-camping
est
prévu dans les projets de
la municipalité. Réhabiliter
cet
espace
devient
primordial
et s'il
existe
bien
dans
la
nouvelle
mouture
de la
modification
allégée
du PLU,
il faut
comprendre
que
ces
travaux
seront
à
prendre
en charge
par
la nouvelle
municipalité
issue
des
urnes
en 2026. |
8.
Un
lavoir
en
souvenir
:
Dans
un
cadre
où
il
fait
bon
prendre
le
temps
de
vivre,
aux
jeunes
de
s'amuser,
aux
manifestations
de
se
produire,
ce
lavoir
rappelle
qu'il
n'y
a
pas
si
longtemps,
les
femmes
venaient
laver
leur
linge
à
cet
endroit,
comme
dans
d'autres
à
Penarprat
ou
à
Tréordo.
La
vie
et
le
temps
ont
pris
le
dessus.
Ce
lavoir,
toujours
présent
avec
sa
fontaine
et
son
eau
est
recouvert
de
verdure,
d'algues
où
les
enfants
ne
vont
pas
forcément
voir
le
danger.
Ce
lavoir,
en
dévers
du
terrain,
voit
des
jeunes,
des
enfants
s'y
approcher
seuls.
Un
cadre
de
vie
agréable
qui
peut
s'avérer
un
jour
de
cauchemar
si
l'on
ne
prend
pas
garde
à
le
signaler
dangereux.
Le
site
est
très
fréquenté,
à
l'inverse
des
autres
lavoirs
dont
celui
de
Penarprat
qui
s'est
vidé
de
son
eau.
Cet
endroit
de
verdure
et
de
calme
voit
aussi
se
construire,
à
ses
abords,
près
de
100
logements
qui
va
amenuiser
la
tranquilité
mais
comme
il
s'agit
de
densifier
le
bourg,
l'entassement
se
fera
à
son
détriment.
L'espace
Raphalen,
fort
de
son
cadre
actuel
rappelle
par
ses
bâtiments,
que
jadis
l'appertisation
des
légumes
et
du
poisson
a
fait
vivre
une
grande
partie
de
ses
habitants. |
9.
Place
du
19
mars
1962
:
S'il
est
une
date
que
les
plonéouristes
se
souviennent
c'est
bien
celle
du
19
mars
1962.
Nombreux
d'entre
eux
sont
partis
vers
ce
département
françois,
4
fois
plus
grand
que
la
France
où
dans
les
villes
et
les
campagnes,
écrasées
de
soleil,
les
combats
font
rage
entre
la
France
et
l'Algérie.
Dans
les
années
1960,
beaucoup
de
jeunes
garçons
scrutent
ce
conflit
qui
peut
les
amener
vers
ce
pays
combattre
pour
des
raisons
qu'ils
ignorent.
Les
plonéouristes
qui
sont
allés
se
souviennent
encore
de
ces
longs
mois
passés
à
ne
pas
savoir
si
un
jour
ils
verront
leur
commune
natale
ou
s'ils
reviennent
:
dans
quel
état.
Il
y
a
forcément
des
séquelles
physiques
et
des
séquelles
morales.
Tout
le
monde
se
souvient
de
ce
jeune
parti
vers
l'Algérie
et
qu'à
Batna,
sa
vie
va
s'arrêter
en
1959.
Je
me
souviens
comme
si
c'était
aujourd'hui
d'autant
que
les
terres
de
ses
parents
touchaient
celles
de
mes
parents.
Pour
ceux
qui
étaient
présents
avec
lui
ce
jour
du
30
mars
1959,
m'ont
raconté
les
circonstances
dramatiques.
Un
jour
de
2022,
une
personne
me
demande
à
quoi
peut
correspondre
la
rue
de
l'école
au
nom
de
Pierre
Marie
Riou.
Je
lui
réponds
que
c'est
le
nom
d'un
soldat
plonéouriste
mort
pour
la
France
durant
la
giuerre
d'Algérie.
Une
place,
à
Plonéour-Lanvern,
porte
la
date
des
accords
d'Evian
mettant
fin
à
ce
conflit.
La
plaque
est
à
peine
lisible,
dans
un
décor
d'un
autre
temps,
sur
un
mur
mal
entretenu.
Pourtant
c'est
lieu
où
des
jeunes
et
moins
jeunes
viennent
très
souvent
puisque
c'est
la
salle
Omnisports.
Au
sol,
les
dalles
disjointes
où
l'herbe
pousse
quand
elle
veut,
où
les
abords
ont
perdu
leur
alignement,
le
tout
faisant
penser
à
un
endroit
désaffecté.
Il
est
important
que
les
lieux
qui
présentent
un
nom
de
mémoire
soit
suivi.
Un
coup
de
nettoyage
à
haute
pression
permettrait
de
lui
rendre
un
visage
beaucoup
plus
digne.
C'est
comme
cela
depuis
quelques
années.
La
plaque
elle-même
peut
également
voir
son
visage
amélioré
pour
une
visibilité
digne
à
son
titre. |
10.
Un
lieu
d'aisance
:
Prolonger
sa
promenade
sur
place
du
19
mars
1962,
à
quelques
mètres,
le
décor
est
à
"avancer
à
reculons".
Ce
lieu
d'aisance
fréquenté,
en
principe,
par
les
jeunes
et
moins
jeunes
de
la
salle
Omnisports,
présente
des
graffitis
de
tous
genres,
même
obscènes.
Les
éléments
mis
à
disposition
sont
cassés,
certains
ne
fonctionnent
pas
quand
l'une
des
portes
destinée
à
la
gente
féminine
est
carrément
barricadée.
S'il
est
dit
que
ce
bâtiment
sera
détruit,
il
faut
comprendre
qu'il
n'est
pas
possible
de
rester
détruire
ce
qui
existe
en
bâtiments
publics
car
un
tel
lieu
peut
servir,
à
condition
de
le
remettre
en
état
et
de
veiller
à
ce
qu'il
reste
en
bon
état.
Il
existe
des
moyens
pour
sauvegarder
les
installations
publiques
face
aux
incivilités
grandissantes
de
ces
dernières
années.
Il
ne
suffit
pas
de
construire
un
terrain
de
football
flambant
neuf,
sans
doute
nécessaire
et
de
délaisser
les
autres
infrastructures
existantes.
Bien
évidemment
ce
n'est
qu'un
petit
aperçu.
Le
temps
passe
sans
que
certains
bâtiments
revivent
mieux.
Augmenter
la
population
oblige
à
maintenir
les
bâtiments
communaux
dans
un
état
normal
et
propre.
Il
ne
suffit
pas
d'augmenter
les
impôts
pour
que
les
habitants
disent
:
où
va
l'argent
et
à
quoi
il
sert".
Dans
le
projet
d'aménager
le
bourg,
il
faut
d'urgence
remédier
à
ces
problèmes
afin
de
ne
pas
laisser
une
commuune
dans
un
tel
état
pour
la
nouvelle
équipe
qui
suivra
car
les
élus
ne
seront
plus
les
mêmes
de
part
et
d'autre.
Dire
:
"Améliorer
ou réfléchir
à
améliorer
le cadre
de vie
local
: équipements
existants,
déplacements
doux,
stationnement,
énergie
renouvelale"...
ne suffit pas. Le
mot
"réfléchir"
ne
semble
pas
être
retenu
car
la
réflexion
ne
doit
pas
mener
à
l'entretien
des
existants
et
la
modification
du
PLU
ne
semble
pas
non
plus
tenir
compte
d'autres
impératifs
ou
réalités. |
11.
Un
autre
lieu
:
Dire
:
"Améliorer
ou réfléchir
à
améliorer
le cadre
de vie
local
: équipements
existants,
déplacements
doux,
stationnement,
énergie
renouvelale"...
ne suffit pas. Le
mot
"réfléchir"
ne
semble
pas
être
retenu
car
la
réflexion
ne
doit
pas
mener
à
l'entretien
des
existants
et
la
modification
du
PLU
ne
semble
pas
non
plus
tenir
compte
d'autres
impératifs
ou
réalités.
Sur
la
place
Amiral
Ronarc'h,
il
y
a
ce
lieu
d'aisance
qui
a
vécu
avec
le
temps
où
le
carrelage
est
cassé,
une
des
portes
est
fermée
car
sans
doute
inutilisable.
Des
graffitis
au
mur
montre
un
état
bien
triste
où
l'envie
d'y
aller
se
fait
à
reculons.
La
porte
d'entrée
a
vécu
vu
son
état
et
tous
ceux
qui
voient
ce
décor
se
demandent
pourquoi
tous
ces
batiments
publics
sont
délaissés
ou
mal
entretenus
quand
d'autre
part,
la
presse
est
invitée
à
des
réceptions
de
nouveautés
occultant
qu'il
est
oublié
toutes
ces
infrastrures
qui
ont
pris
de
l'âge
filant
dans
un
état
de
délabrement.
En
face,
il
est
prévu
la
construction
d'une
nouvelle
cuisine
centrale
qui
coûtera
2,6
millions
d'euros
sans
savoir
si
la
rentabilité
d'un
tel
investissement
n'affectera
pas
le
budget.
Si
le
contribuable
est
souvent
une
variable
d'ajustement,
il
n'est
pas
certain
que
cela
puisse
perdurer
car
il
risque
de
se
fatiguer.
Le
bulletin
de
vote
peut
être
une
arme
efficace
pour
mettre
un
coup
d'arrêt
à
des
dépenses
dispandieuses.
|
12.
Parking
école
ndbs
:
Le
cadre de
vie tant
espéré ne
cadre
pas
toujours
avec
la
réalité.
C'est
le
cas
du
parking
de
l'école
Notre
Dame
de
Bon
Secours
où
chaque
jour
transitent
près
de
250
véhicules.
L'usure
du
temps
a
fait
que
c'est
davantage
un
chemin
de
terre
avec
des
trous
qu'un
parking.
C'est
aussi
la
même
chose
sur
le
parking
de
l'Espace
Raphalen.
Il
est
vrai
que
les
passages
réguliers
à
ces
endroits
ont
raison
de
ces
revêtements.
"Améliorer
et
réfléchir",
telle
était
l'idée
pour
un
cadre
de
vie
meilleur.
Il
reste
au
sommet
de
la
réflexion
sans,
peut-être,
jamais
poser
pied
à
terre
pour
voir
les
ornières
ou
défections
de
ces
endroits.
|
13.
Parking
école
ndbs rénové
:
Le
1er septembre
2024,
ce
sont
300
élèves
qui
pris
le
chemin
de
l'école
à
Notre
Dame
de
Bon
Secours.
Les
parents
ont
eu
l'agréable
surprise
de
voir
que
le
parking
caillouteux
plein
d'ornières
a
été
rénové.
Cela
donne
un
meilleur
visuel
à
l'entrée
de
l'école.
Certes
ça
a
un
coût
mais
il
est
impératif
de
soigner
les
existants
au
lieu
de
laisser
le
temps
effectuer
des
dégats.
Que
cela
serve
d'idée
et
de
réflexion
sur
les
autres
existants
qui
ont
également
besoin
d'un
coup
de
nettoyage
ou
de
réfection. |
14.
L'espace
de
glisse
Raphalen
:
Le
8
juin
2024,
l'unauguration
de
l'espace
de
glisse
Raphalen
a
lieu,
en
présence
de
2
sénateurs
du
Finistère,
des
2
conseillers
départementaux
du
Canton
de
Plonéour-Lanvern,
du
maire
de
la
Commune
accompagné
de
quelques
adjoints,
des
jeunes,
et
d'un
public.
Il
n'a
pas
fallu
2
mois
pour
que
cet
espace
de
glisse
soit
recouvert
de
graffitis
qui
ne
relèvent
pas
l'environnement.
Ces
dessins
se
retrouvent
désormais
dans
bien
des
endroits
alors
qu'ils
n'ont
pas
raison
d'être.
Plus
haut
sur
cette
page
on
les
voit
dans
les
lieux
d'aisance,
l'ancien
camping
municipal.
Il
y
a
d'autres
endroits,
comme
l'ancien
dancing
et
bien
d'autres.
Pour
un
lieu
bien
visité,
c'est
désordonné.
Cela
n'apporte
rien
sinon
une
moins-value
au
site
sportif
qui
a
un
coût
important.
Les
incivilités
n'ont
pas
leur
place
dans
une
société
qui
se
respecte.
S'ils
veulent
démontrer
leurs
qualités
d'artistes,
il
existe
des
supports
pour
cela
et
des
endroits
où
ils
pourront
montrer
leur
art,
un
peu
partout.
|
15.
Un
endroit
déserté
:
Situé
rue
Jean
Jaurès,
à
l'angle
de
la
place
du
19
mars
1962,
cet
endroit
est
laissé
vacant
avec
rideau
baissé,
grille
tirée
et
herbes
débordantes
comme
à
bien
des
endroits.
Au
moment
où
il
est
difficile
de
trouver
un
logement,
un
endroit
pour
installer
sa
petite
entreprise,
pourquoi
ne
pas
mettre
à
profit
ces
bâtiments
au
lieu
de
le
laisser
à
l'abandon,
laissant
une
vue
lassante
sur
un
décor
qu'il
serait
possible
de
mettre
en
noir
et
blanc.
La
rue
Jean
Jaurès
avait
un
commerce
à
chaque
maison
partant
de
la
salle
de
danse
du
Modern
Dancing
jusqu'au
bout
de
la
route
jusqu'à
la
nommée
route
de
Plogastel.
Dans
le
projet
du
réaménagement
du
bourg,
cette
rue,
comme
d'autres,
est
destinée
à
avoir
une
circulation
à
sens
unique
dans
le
système
de
"tour
en
rond".
D'une
circulation
compliquée,
les
automobilistes
prendront
les
extérieurs
pour
éviter
le
bourg
qui
va
se
vider
d'une
partie
passante
au
profit
des
déplacements
doux
comme
piétons
et
vélos.
Nous
ne
sommes
plus
au
milieu
du
XXème
siècle
où
ce
système
générait
un
flux
constant
de
population
tant
pour
les
messes
dominicales,
les
foires
et
marchés.
C'était
un
autre
temps
où
les
habitants
faisaient
vivre
leur
bourg. |
16.
Les
fenêtres
de
la
mairie
:
Les
fenêtres
de
la
mairie
ont
subi
les
effets
et
l'usure
du
temps.
Avec
l'air
salin,
la
pluie,
le
soleil
ou
la
lune,
les
peintures
sont
parties
laissant
le
bois
supporter
les
aléas
du
temps.
L'entretien
ne
semble
pas
au
rendez-vous
même
si
la
municipalité
a
prévu,
dans
son
programme,
des
aménagements
de
toute
la
maison
commune.
Les
promesses
électorales
n'engagent
que
ceux
qui
les
font
souvent
éloignées
des
capacités
à
les
mener
à
bon
port.
Au
programme
des
priorités
tout
ne
pourra
pas
se
faire.
Les
éléments
extérieurs
pourront
les
modifier.
Compter
sur
des
promesses
de
subventions
peut
tenir,
à
condition
de
se
soumettre
aux
conditions
drastiques
à
les
obtenir.
L'exemple
de
la
subvention
recalée,
donc
non
obtenue,
de
la
subvention
régionale
pour
le
invite
à
la
prudence.
Dès
lors
que
la
Région
l'a
supprimée,
pour
non
conformité,
montre
l'impérieuse
nécessité
à
ne
pas
s'engouffrer
dans
des
réalités
fictives.
Un
projet
qui
pourrait
donc
être
mis
en
place
par
une
nouvelle
majorité
à
l'issue
des
élections
municipales.
Il
devient
urgent
de
remédier
à
l'entretien
extérieur
de
la
mairie
sans
pour
autant
lui
annexer
des
travaux
intérieurs. |
17.
Les
allées
du
cimetière
2024
:
Les
allées
du
cimetière
offrent
un
décor
végétal
dense.
Il
n'y
aura
pas
d'autre
solution
que
d'utiliser
des
débrousailleuses,
comme
l'an
passé,
dans
ce
jardin
qui
appelle
au
silence
et
au
recueillement.
Il
a
été
vu,
l'an
passé,
des
personnes
à
effectuer
ce
nettoyage
sous
différentes
formules
:
nettoyage
à
la
main
autour
de
chaque
tombe
puis
nettoyage
plus
mécanique
avec
des
débroussailleuses
qui
maculaient
les
tombes,
surtout
en
périodes
où
les
vannes
du
ciel
s'ouvrent.
Un
nettoyage
effectué
dans
une
ambiance
de
fête
avec
un
fond
musical
digne
d'une
kermesse.
Hélas,
le
cimetière
est
un
sujet
trop
préoccupant
pour
le
laisser
dans
une
telle
situation.
Il
ne
suffit
pas
de
passer
au
zéro
phyto
en
laissant
cet
espace
fréquenté,
être
envahi
par
des
herbes
de
toutes
sortes
et
de
toutes
hauteurs.
Il
est
vu
également
ce
système
d'herbe
à
l'espace
Raphalen
comme
s'il
n'y
avait
plus
personne,
comme
jadis,
à
nettoyer.
Le
long
du
mur
du
cimetière,
l'herbe
pousse
de
la
même
manière. |
18.
Espace
Raphalen
:
L'Espace
Raphalen
est
un
site
incontournable
pour
toutes
sortes
de
manifestations
ainsi
que
pour
la
promenade,
la
détente
des
enfants
sur
l'espace
dédié
pour
eux
ou
pour
les
sportifs
dans
l'espace
jeux.
Le
site
développant
7
ha
a
donc
une
exposition
à
valoir
un
espace
valorisé
pour
permettre
des
activités
de
toutes
sortes.
Cet
espace
bien
utilisé
subi
les
aléas
des
allées
et
venues
où
les
revêtements
ont
subi
l'usure
des
fréquentations
et
du
temps.
L'herbe
pousse
également
sur
le
bord
de
ces
bâtiments
au
même
titre
que
les
murs
du
cimetière.
Un
petit
coup
de
nettoyage
ne
serait
pas
inutile
afin
de
rendre
plus
agréable
le
décor
de
cet
espace.
Les
bâtiments
municipaux
sont
nombreux
et
il
est
vu
de
nouveaux
achats
mais
ne
faudrait-il
pas
ne
pas
se
couvrir
d'un
chapeau
trop
grand,
à
les
laisser
au
gré
du
vent
et
du
temps
qui
passe. |
19.
Entrée
Espace
Raphalen
:
Alors
que
l'adresse
d'entrée
a
toujours
été
au
14
rue
René
Le
Berre,
voilà
que
désormais
elle
est
située
par
le
11
rue
Pierre
Brossolette.
Pour
autant
la
plupart
des
entrées
se
font
par
le
14
rue
René
Le
Berre,
plus
précisément
le
14
ter.
La
largeur
de
cette
entrée
ne
permet
pas
l'utilisation
de
cette
rue
compte
tenu
de
son
étroitesse.
La
vue
a
comme
image
des
murs
verdis
et
des
accottements
enherbés
comme
un
peu
partout.
L'entrée
se
fera
donc
par
la
rue
René
Le
Berre
comme
autrefois. |
20.
Vue
Entrée
Espace
Raphalen
:
Lorsque
l'on
prend
cette
rue
pour
aller
à
l'espace
Raphalen,
la
vue
d'entrée
montre
un
véhicule
sans
roue
et
des
cellulaires
posés
sans
utilité
apparente.
La
route
est
abîmée
et
n'est
pas
en
bon
état
tout
comme
le
parking
de
l'espace
Raphalen.
Il
appelle
à
des
travaux
de
réfection
donc
une
dépense
logique
à
l'entretien
des
espaces
publics
inhérents
à
la
Commune.
Alors
qu'il
est
prévu
la
construction
d'une
cuisine
centrale
dont
le
coût
ne
cesse
d'augmenter,
il
est
vrai
que
le
budget
n'est
pas
extensible
sauf
à
trouver
la
variable
d'ajustement
qu'est
le
contribuable.
L'espace
Raphalen
est
un
lieu
très
fréquenté
qui
doit
laisser
une
image
d'un
site
propre
et
convivial
à
toutes
les
personnes
qui
viennent
et
qui
passent.
En
l'espace
d'une
seule
journée
d'élection
législative
4
000
personnes
sont
venues
donc
un
nombre
important
à
arpenter
le
lieu.
Il
leur
reste
l'image
de
leur
passage
même
fugace
pour
un
souvenir
accroché
à
leur
mémoire. |
21.
L'ex
camping
municipal
:
Cette
vue
aérienne
par
P.
Pichavant,
montre
le
camping
municipal
dans
un
cadre
de
verdure
qui
permettait
aux
touristes,
itinérants
et
autres,
de
séjourner
dans
la
Commune
de
Plonéour-Lanvern.
Cet
espace
arboré
a
permis
à
beaucoup
de
personnes
de
passer
quelques
jours
ou
quelques
semaines,
notamment
aux
habitués
de
camping,
des
personnes
qui
avaient
ce
qu'il
fallait
pour
rester
dans
la
Commune
afin
de
lui
apporter
une
plus-value
commerciale
et
touristique.
Le
tourisme
est
un
vecteur
économique
important.
Il
suffit
de
regarder
autour
de
soi
pour
se
rendre
compte
que
même
Tréguennec,
petite
ville
de
300
habitants
a
un
camping
municipal
et
un
camping
privé.
De
cette
vue
magnifique
que
reste-t-il
?
L'endroit
est
abandonné
et
même
lors
de
la
révision
du
PLU
2008
pour
2022,
cet
espace
a
été
oublié.
Pourtant
il
est
placé
dans
le
bourg
puisqu'il
est
à
quelques
mètres
du
château
d'eau,
en
prenant
la
route
de
Mariano.
Jadis,
sur
ce
terrain,
des
femmes
de
l'usine
Aaphalen
venaient
parfois
y
travailler¨car
il
y
avait
des
plantations.
En
2024,
pour
une
révision
allégée
du
PLU,
cet
espace
est
proposé
à
un
changement
de
destination.
Actuellement,
c'est
davantage
un
spectacle
de
désolation
qu'il
est
vu
comme
ces
graffitis
sur
des
murs
cassés
où
la
toiture
a
disparu.
Toutes
les
installations
sont
détruites
et
cassées.
Un
réaménagement
de
l'ex-camping
est
en
projet
pour
2024. |
22.
Vue
dans
l'ex-camping
municipal
:
Les
informations
et
la
communication
voyagent
à
grande
vitesse,
ne
serait-ce
que
par
les
réseaux
et
le
numérique.
A
l'invite
d'un
internaute
passionné
par
ses
prises
de
vue
dans
bien
des
endroits,
des
photos
arrivent
par
ce
biais
où
le
lecteur
numérique
trouve,
en
instantané
de
la
publication,
ce
genre
de
décor.
Il
aurait
pu
être
en
"noir
et
blanc"
pour
faire
référence
à
des
temps
plus
anciens
mais
c'est
bien
de
2024
que
les
photographies
s'affichent.
De
ces
douches,
il
ne
reste
même
plus
les
cloisons.
Tout
est
cassé
et
brisé.
Il
faut
bien
comprendre
que
cela
ne
s'est
pas
fait
tout
seul.
Il
n'y
a
pas
non
plus
de
toit
comme
sur
le
bâtiment
ci-après.
Ces
toits,
jadis
couverts
d'éverite
contenant
de
l'amiante,
sont
toujours
sur
le
site.
C'est
un
décor
à
l'opposé
du
terrain
de
football
synthétique qui
a
été
une
priorité
laissant
cet
espace
de
verdure
se
mourir
tristement
où
l'espace
tennis
a
besoin
d'un
renouveau
qui
semble
s'attendre. |
23.
Le
bâtiment
brûlé
de
l'ex-camping
:
Ce
bâtiment
que
l'on
retrouve
à
gauche
sur
la
vue
aérienne,
a
été
brûlé
par
des
incivilités.
Pour
autant
l'espace
n'est
pas
sécurisé.
Il
y
a
accès
par
les
quatre
points
cardinaux
y
compris
au
nord,
donc
sur
la
gauche
de
la
photo,
où
il
y
a
la
route
de
Traon
ar
Lin,
qui
mène
vers
Mariano
et
le
sentier
"Train
Carottes".
A
partir
de
cette
route
même,
d'une
simple
grimpette
le
promeneur
arrive
y
compris
les
enfants
qui
ont
une
énergie
suffisante
pour
gravir
de
tels
obstacles.
Comme
dit
au
paragraphe
précédent,
l'information
circule
vite
mais
il
n'est
plus
besoin
de
se
déplacer
pour
voir
ces
décors.
L'intelligence
artificielle
munie
de
ses
drones,
de
ses
satellites,
donne
en
direct
l'aspect
d'un
lieu
recherché.
D'hier
et
d'aujourd(hui,
une
rubrique
qui
s'écrit
pour
montrer
que
les
évolutions
ne
sont
pas
toujours
conformes
à
ce
qu'il
est
vu,
de
visu,
que
l'embellisement
de
certains
quartiers
par
des
constructions
neuves,
ne
cadre
pas
du
tout
avec
le
reste.
Ces
constructions
neuves
vont
vieillir
et
le
temps
lui
sera
le
principal
attaquant. |
24.
Les
bâtiments
cibles
du
temps
:
Ce
batiment est
vu
chaque
jour
d'école
poar
tous
les
parents
d'élèves
qui
viennent
chercher
leurs
enfants
à
l'Ecole
Notre
Dame
de
Bon
Secours.
Il
doit
avoir
une
mixité
puisqu'il
y
a
une
salle
communale
à
l'endroit
des
portes
vitrées.
A
cet
endroit,
jadis,
les
élèves
arrivaient.
Ce
n'était
pas
une
rue
mais
seulement
l'entrée
de
l'école
qui
se
faisait
par
la
rue
Charles
Le
Goffic,
qui
était
d'ailleurs
son
adresse.
Ce
bâtiment
est
construit
à
la
place
de
l'ancienne
école
qui
avait
cour
sur
la
présente
école.
La
cour
s'est
réduite
aux
enfants
pour
faire
place
à
des
constructions
d'appartements
tout
proches.
Or
si
l'idée
de
croître
la
population
à
7400
habitants
soit
plus
de
1000
en
plus,
il
y
aura
des
enfants
à
scolariser
sauf
si
les
nouveaux
arrivants
sont
tous
des
retraités.
Or
cela c'est
peu
vraisemblable.
Ce
qui
l'est
moins
c'est
la
capacité
d'accueil
de
beaucoup
d'autres
élèves
dans
les
écoles.
Le
mur
de
ce
bâtiment,
pas
très
ancien
est
déjà
tâché
de
verdure
et
si
l'on
ne
prend
pas
garde,
la
façade
pourrait
rejoindre
l'aspect
du
bâtiment
de
la
place
du
19
mars
1962.
Augmenter
les
infractures
obligera
à
augmenter
les
services
techniques
de
nettoyage.
C'est
tout
simplement
"mathématique'.
Quant
à
la
rue,
elle
a
aussi
vécu,
et de
l'usure
du
temps
et de
l'usure
des
passages.
Ce
n'est
pas
la
trouée
d'Aremberg,
mais
c'est
la
rue
à
"nids
de
poules"
que
les
véhicules
subissent
y
compris
les
vélos.
C'est
ainsi
à
partir
du
parking
de
l'école.
C'est
bon
pour
faire
du
"gravel". |
25.
A
l'Esplanade
des
frères
Méhu
:
En
achetant
la
maison
Le
Gall,
pour
faire
un
espace
de
vie
plus
agréable
au
centre
ville,
l'autre
achat
de
ce
petit
local
de
20
mètres
carrés
pour
aligner
l'ensemble
semble
rester
dans
l'état,
passé
aux
oubliettes.
La
rue
Jules
Ferry
est
un
passage
obligé
des
véhicules
qui
vont
vers
la
capitale
du
Pays
Bigouden.
Le
touriste
qui
arrive
en
découvrant
ce
visuel
à
quelques
mètres
de
léglise
paroissale
se
demande
s'il
ne
rêve
pas.
D'ordinaire
les
entrées
de
ville
sont
fleuries,
propres
et
accueillantes
méritant
de
s'arrêter
pour
découvrir
ce
bourg.
La
vue
de
d'un
tel
décor
n'invite
pas
à
un
arrêt
et
la
rue
devient
un
passage
tout
simplement.
A
l'inverse
des
quartiers
résidentiels
propres
et
biens
entretenus
s'installe
une
différence
palpable
entre
les
réalisations.
Certes,
ce
sont
des
logements
privés
mais
bien
orchestrés
dans
un
linéaire
de
propreté.
Certes
ce
sont
des
constructions
neuves
qui,
en
prenant
de
l'âge,
pourraient
prendre
le
même
chemin. |
26.
Face
ouest
de
l'ancien
dancing
:
Cette
batisse
se
trouve
en
plein
bourg
puisqu'elle
est
la
partie
ouest
de
l'ancien
dancing
"les
mouettes"
devenu
le
"Charleston".
C'est
l'entrée
"ouest"
généralement
empruntée
pour
les
banquets,
noces,
servant
aussi
de
sortie.
Au
temps
de
sa
splendeur
l'entrée
se
faisait
de
l'autre
côté.
Venant
de
la
rue
Henri
Lautrédou
dite
aussi
route
de
Saint
Jean,
artère
principale
menant
au
bourg,
l'automobiliste
a
cette
vue
en
face
de
lui.
De
plus
à
cet
endroit
c'est
rue
Pierre
Brossolette
qui
mène
vers
la
porte
d'entrée
de
la
Halle
Raphalen,
bien
que
les
personnes
habituées
prennent
le
rond-point
route
de
Pont-l'Abbé.
La
rue
Pierre
Brossolette
mène
aussi
vers
l'Ecole
Notre
Dame
de
Bon
Secours,
où
plus
beaucoup
passent
à
cet
endroit.
Cette
rue
mène
aussi
vers
les
quartiers
résidentiels
où,
à
Kérallain,
sortent
de
terre
90
logements
qui
augmenteront
le
flux
routier.
Dès
l'achat,
un
projet
de
réhabilitation
a
été
établi
et
présenté
aux
administrés
lors
des
voeux
de
2017.
Depuis
cette
date,
la
situation
est
au
même
point
où
le
projet
semble
lui
aussi
avoir
pris
un
chemin
différent,
non
pas
qu'il
soit
abandonné
mais
il
a
une
gestation
multi
éléphantesque
redondante.
Au
bout
de
cet
immeuble,
un
bar
continue
son
exploitation
mais
tout
le
reste
est
dans
un
triste
état
intérieur.
Le
réaménagement
du
bourg
a
été
programmé
face
à
d'autres
projets
dits
prioritaires
mais
excentrés
du
bourg
où
le
passage
n'a
rien
comparable.
C'est
un
immeuble
public
qui
stagne
dans
cet
état.
|
27.
Rue
René
Le
Berre
:
En
venant
de
Pont-l'Abbé,
ou
de
la
Halle
Raphalen,
en
remontant
vers
le
bourg,
l'automibiliste,
le
cycliste
ou
le
piéton
a
vue
sur
ce
bâtiment
que
beaucoup
de
plonéouristes
ont
fréquenté
car
il
a
été,
au
début
des
années
1970,
un
petit
magasin
de
proximité
sous
l'enseigne
"VB
Vert
et
Blanc",
de
la
chaîne
Suignard
avant
de
déménager
rue
Henri
Lautrédou
toujours
sous
la
même
enseigne.
Par
la
suite,
ce
bâtiment
va
devenir
un
garage
toutes
marques.
Lorsque
le
garage
va
cesser
son
activité,
rien
ne
viendra
remplacer
cet
artisan.
Depuis
des
années,
ce
bâtiment
est
abandonné
alors
qu'il
pourrait
servir
à
d'autres
destinations
au
vu
des
manques
de
logements
à
Plonéour-Lanvern.
Il
sert
aussi
à
recevoir
quelques
graffitis
et
les
vitres
du
garage
précédents
ont
été
brisées
comme
à
l'ex-camping,
par
des
incivilités.
S'il
reste
encore
des
carreaux,
la
vitrine
est
fermée
avec
des
panneaux
osb
sans
doute
3,
pour
éviter
que
ce
local
devienne
un
refuge
de
toutes
sortes.
En
remontant
vers
le
bourg
l'automibilite
a
le
droit
à
la
vue
de
l'entrée
de
l'ancien
dancing
dans
un
état
bien
triste.
De
même,
après
le
rond
point
de
la
Halle
Raphalen,
vers
le
bourg
il
y
a
une
maison
qui
n'est
plus
habitée
depuis
1989
sauf,
peut-être,
par
des
oiseaux
pouvant
pénétrer
par
les
carreaux
cassés. |
28.
Rue
René
Daniel
:
Ce
bâtiment
est
au
centre
bourg.
Il
ne
peut
pas
être
plus
près
car
il
est
juste
en
face
de
l'église.
Cette
rue
est
la
seule
portant
le
nom
d'un
maire
de
Plonéour-Lanvern
qui
en
fût
l'édile
pendant
41
ans,
sans
oublier
qu'avant
de
l'être,
en
1888,
il
officia
comme
secrétaire
de
mairie
près
de
son
père,
Pierre-Jean
DANIEL
qui
lui
aussi
fût
maire
durant
30
ans.
Rue
René
DANIEL
dont
le
nom
reste
attaché
à
la
commune
du
fait
de
leurs
mandats
à
la
mairie.
Ils
habitaient
Tréordo,
René
Daniel
y
est
né.
Ce
bâtiment
est
une
ancienne
droguerie
importante
où
étaient
attachés
divers
corps
de
métier
comme
chauffagiste,
électricité,
sanitaires,
plomberie,
peinture.
Un
commerce
florissant
dans
cette
rue
il
y
avait
la
maison
de
René
DANIEL,
négociant
en
vins
et
spiritueux.
Aujourd'hui,
un
médecin
exerce
sa
profession
derrière
ces
vitres
du
bâtiment
de
la
droguerie
Kerdranvat.
J'en
parle
dans
mon
ouvrage
"Ma
vie
dans
ma
jeunesse"
qui
n'a
cessé
d'augmenter
par
ses
pages
compte
tenu
de
l'actualité
débordante
à
cette
époque.
La
Commune
est
propriétaire
où,
en
plus
du
médecin,
il
y
a,
à
l'arrière
un
local
associatif
et
aux
étages,
des
chambres.
Le
visuel
montre
des
murs
verdis
par
le
temps,
un
sol
où
l'herbe
pousse
comme
un
peu
partout
comme,
à
quelques
mètres,
à
la
place
du
19
mars
1962,
à
l'angle
de
la
rue
Jean
Jaurès.
Une
rue
passante
puisque
face
à
l'église
où
il
y
a
toujours
des
offices.
Un
petit
nettoyage
s'impose
pour
rendre
plus
attractif
le
bourg
par
un
autre
visuel
que
des
murs
vieillis
par
le
temps.
La
ville
n'est
pas
encore
un
musée
des
anciennes
activités
puisqu'il
ressort
un
réaménagement
mais
le
visuel
verse
vers
le
bas
en
attendant
que
le
cheval
couché
soit
relevé.
Lorsque
des
priorités
sont
données
à
d'autres
projets,
parfois
l'essentiel
passe
à
côté
de
ce
qui
est
important
pour
les
administrés
et
tous
les
gens
qui
passent
au
Carrefour
du
Pays
Bigouden. |
29.
Place
du
19
mars
1962
:
En
face
de
l'espace
de
l'ex-stockage
des
produits
du
sol,
il
y
a
la
place
du
19
mars
1962
et
la
salle
Multifonctions.
Il
est
donc
obligatoire
à
tous
les
usagers
de
cet
espace
de
voir
ce
bâtiment
extérieur
qui
servait
de
lieu
d'aisance.
Il
est
désormais
barricadé
pour
éviter
l'entrée
et
d'éviter
les
passants
à
voir
ces
graffitis
dans
ces
lieux
mal
entretenus.
Dire
qu'il
va
être
détruit
c'est
très
expéditif
comme
solution
au
lieu
de
lui
donner
un
coup
de
nettoyage.
S'il
fallait
détruire
tous
les
bâtiments
parce
qu'ils
sont
mal
entretenus
équivaudrait
à
dire
"du
neuf
toujours
du
neuf"
qu'importe
les
dépenses
engendrées.
En
programmant
un
nombre
d'habitants
à
7400
il
y
aura
lieu
de
prévoir
une
augmentation
des
infrastructures
et
servives
en
conséquence.
Or,
il
semble
déjà
difficile
de
subvenir
aux
besoins
actuels
qu'il
sera
difficile
de
trouver
des
solutions
pérennes.
Puis
comment
décréter
un
nombre
d'habitants
sur
des
critères
non
existants.
Alors
si
c'est
pour
créer
et
construire
des
habitations
pour
construire
des
logements
dortoir,
les
autres
services
peuvent
effectivement
se
soustraire
à
ces
obligations.
Sur
cette
photo
il
est
encore
vu
l'herbe
pousser
sur
un
socle
ce
qui
rend
la
propreté
délaissée.
Certes
si
c'est
appelé
à
être
détruit,
rien
n'empêche
de
nettoyer
dans
cette
attente.
Une
intendance
qui
ne
suit
pas
ou
suit
certains
critères
que
les
administrés
ne
savent
pas. |
30.
Cadre
de
vie
:
Il
suffit
de
gratter
un
peu
pour
se
rendre
compte
qu'en-dessous
il
y
a
une
route
goudronnée
il
n'y
a
pas
si
longtemps.
Le
visuel
est
différent
des
rues
des
quartiers
de
la
ville.
Dire
:
"Améliorer
ou réfléchir
à
améliorer
le cadre
de vie
local
: équipements
existants,
déplacements
doux,
stationnement,
énergie
renouvelale..."
ne suffit pas. Pour
"réfléchir"
il
faut
d'abord
avoir
une
vision
globale
de
l'ensemble
du
territoire.
Les
élus
sont-ils
capables
de
le
visionner
dans
leur
disque
dur
de
tête,
toutes
les
particularités
de
chaque
secteur,
de
chaque
quartier
:
hélas
non.
Connaître
une
petite
partie
est
une
prouesse
pour
certains.
Le
PLU
du
01.02.2022
a
supprimé
toutes
les
zones
Nr
qui
laisse
sans
défense
les
propriétaires
ayant
auparavant
ces
zones.
Ce
n'est
pas
très
cohérent.
Au
surplus,
des
zones
constructibles
ont
sauté
au
profit
d'un
tableau
excel
servant
à
calculer
l'espace
agricole
récupéré
de
façon
"puzzle"
où
il
est
impossible
à
un
tracteur
de
rentrer
ou
de
manoeuvrer.
L'espace
agricole
ainsi
récupéré
peut
représenter
une
ferme
par
sa
quantité
mais
les
divers
morceaux
épars
ne
permettent
pas
grand
chose
sauf
à
faire
monter
un
monde
contre
un
autre.
Le
cadre
de
vie
local
ne
consiste
pas
à
favoriser
une
punition
à
ces
habitations
en
milieu
rural
autorisées
à
la
construction
car
elles
n'ont
pas
été
construites
sans
permis.
Ces
habitations
diffuses
sur
le
territoire
sont
très
nombreuses
et
le
risque
de
voir
leur
mode
de
communication
vers
leurs
habitations,
transformé
en
terrain
boueux
digne
pour
un
cyclo
cross
ou
un
gravel.
Le
nombre
d'exploitations
est
moindre
pour
une
surface
beaucoup
plus
grande
avec
des
cultures
intensives.
La
culture
du
maïs
est
grande
parfois
au
ras
des
maisons
comme
dans
bien
des
quartiers.
C'est
une
cohabitation
qui
deviendra
difficile
s'il
n'est
pas
respecté
"le
cadre
de
vie"
tel
que
décrit
au
détriment
de
la
sécurité
des
personnes
et
des
biens.
De
plus,
certaines
sorties
de
champs
sont
faites
sur
des
départementales,
ce
qui
est
interdit.
La
bonne
règle
est
de
nettoyer
après
avoir
sali
sinon
il
est
entré
dans
un
système
d'incivilités
admises
sur
le
périmètre
de
la
Commune.
Etablir
des
règles
n'est
pas
empêcher
quiquonque
de
faire
sa
profession,
c'est
"améliorer
le
cadre
de
vie
local",
qui
semble
aller
à
"vau
l'eau".
Est-ce
que
cette
boue
pourra
maculer
le
lotissement
neuf
de
l'impasse
de
Stangoulinet
ou
la
rue
Marie
de
Kerstrat
? |
Cette
page
sera
complétée
|
31.
Météo
de
Plonéour-Lanvern
sur
7
jours
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