Plonéour-Lanvern Carrefour du Pays Bigouden

Mettre en mémoire la mémoire de sa ville est lui permettre de n'être jamais oubliée. Armand CARVAL

PLONÉOUR-LANVERN

1. Cadre de vie :

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Pour qu'une ville soit attractive et tende à améliorer le cadre de vie, il faut que les gens aient envie de venir s'installer dans une ville propre à tous points de vue. Dire : "Améliorer ou réfléchir à améliorer le cadre de vie local : équipements existants, déplacements doux, stationnement, énergie renouvelale.." ne suffira pas si on oublie l'essentiel sur les éléments existants. Imaginer une amélioration en prenant l'exemple de poubelles bondées, dépassant de tous bords, des existants ternis par le temps pour ne pas dire sales, n'invite pas les gens à y venir. Lorsqu'en plein centre ville cette vue flashe, une interrogation s'impose. Ces bacs poubelles peuvent avoir droit à une douche où l'effet d'un nettoyeur pourrait leur rendre l'éclat du neuf. Il n'y a pas que ce secteur qui a besoin de nettoyage car les monuments existants en ont également tel le monument aux morts secteur qui fait partie du patrimoine de la commune. Des existants, il n'est pas le seul dans ce cas. Il a été préféré ouvrir la voie aux activités sportives, certes nécessaires, en remplaçant l'herbe du terrain de football par un terrain synthétique au coût élevé tout en prenant la voie du zéro phyto au cimetière, le laissant enherbé à maintes reprises. A l'heure des choix il faut retenir le plus urgent car tout ne pourra se faire en même temps. Un choix peut-être cornélien mais sans doute nécessaire.

2. Entrée du bourg :

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Dire : "Améliorer ou réfléchir à améliorer le cadre de vie local : équipements existants, déplacements doux, stationnement, énergie renouvelale.." ne suffit pas. Depuis des années, lorsque les automobilistes viennent de Pont-l'Abbé, ils ont d'office la vue de cet ancien dancing où les plus grandes vedettes du bal musette sont venues. Sur ces marches, jadis Augusto Baldi, Bruno Lorenzoni, Harry Williams (fils d'André Verschuren), Lili Ronarc'h, et d'autres grands noms, les pas de ces artistes les ont gravies. C'était aussi les mêmes marches pour les banquets de noce, des bals populaires où le maire d'autant, Alfred Jolivet, faisait vibrer son violon ou son saxo. Un lieu où la plus grande entreprise de la commune faisait son repas de fin d'année. Sur l'estrade le patron remettait les médailles du travail aux ouvriers et ouvrières. C'était un temps où la commune vivait avec ses commerces et ses entreprises. Il ne reste qu'à l'entrée, ce vestige abandonné aux caprices du temps. Le touriste remarquera toujours ce qu'il y a de négatif en balayant le positif. Il ne s'arrêtera donc pas.

3. Entrée du bourg :

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Dire : "Améliorer ou réfléchir à améliorer le cadre de vie local : équipements existants, déplacements doux, stationnement, énergie renouvelale..." ne suffit pas. Le prolongement des marches d'entrée de la salle de danse, offre un spectacle extérieur que les plonéouristes, les touristes ne peuvent pas occulter car c'est la vision d'entrée et aussi de sortie de la ville. Aménager le bourg sans y mettre de la couleur le fera rester terne. Faut-il pour donner un coup de nettoyage demander à des bureaux d'études, qui prennent cher, savoir comment faire. D'étude et en étude, de billet en billet, les études perdurent au plaisir de ces bureaux qui savent facturer qu'importe l'issue. Le visage du bourg s'est prolongé dans une vue peu agréable qui ne donne pas envie de s'y arrêter pour voir un bourg déserté de ses commerces qui se sont installés dans une zone de chalandise en périphérie sud de la commune. Il ne reste que ces murs tenant debout par habitude où les graffeurs s'amusent à décorer de différentes manières. La circulation ralentie à 30 kilomètre heure permet aux visteurs de mieux savourer ces décors vétustes et non entretenus. L'âme a-t-elle disparu dans cette commune jadis prospère par ses entreprises. Les anciens savaient la tenir mais leur savoir a été oublié tout comme leurs noms.

4. En plein bourg :

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Dire : "Améliorer ou réfléchir à améliorer le cadre de vie local : équipements existants, déplacements doux, stationnement, énergie renouvelale"... ne suffit pas. Le prolongement vers le bourg amène à voir ce décor tout près de l'église. Des murs noircis par le temps, des pierres revouvertes de mousse et l'herbe qui pousse sans que personne ne se soucie. Des carreaux cassés de ce qui fut jadis un lieu d'aisance qui est aujourd'hui fermé. Il faut trouver un autre lieu pour se soulager d'une envie pressante sauf que c'est le parcours du combattant à la recherche d'un local. Pas de panneau pour le signaler. Cela ne donne guère envie de s'arrêter dans une ville où tout semble s'être arrêté par le temps. L'image de la ville s'est ternie ces dernières années. Il faudra tout remettre à plat pour permettre un cadre de vie plus agréable et que les habitants, outre de trouver une cité dortoir, puissent dire que la ville vit alors qu'elle se meurt.

5. La mairie :

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Il est 09:29:54 ce dimanche 5 novembre 2023. Alors que de nombreux foyers sont plongés dans le noir depuis la tempête Ciaran du 1er au 2 novembre 2023, c'est désert dans ce bourg où il n'y pas une âme qui vive. Les abords de la mairie, vieillis par le temps offrent une vue où l'entrée ressemble à un bâtiment délaissé, les rampes d'accès ont perdu leur éclat parce que la peinture est partie. Les marches pour accéder au bâtiment montrent l'usure du temps tout comme les plans inclinés, part et d'autre, où l'on relève des manques au sol. L'usure du temps montre l'ossature des fenêtres rongée par la rouille. L'aspect extérieur ne fait que refléter l'ensemble des autres existants qui ne sont pas entretenus comme jadis. Si l'on se déplace vers des villes avoisinantes, l'entretien est beaucoup plus suivi. Alors pourquoi vouloir augmenter la population lorsque le reste ne suit pas. Certes, le projet d'amélioration est en cours, toujours dans des bureaux d'études qui, moyennant factures, vont s'accaparer du dossier. Le temps passe, passe et passe. Mais le temps fait son oeuvre à rendre laids ces bâtiments où les habitants sont censés venir pour différentes raisons administratives. La mairie est une maison commune où chacun peut y venir même pour consulter des documents publics. Il y a une très grande différence par rapport au terrain de football synthétique flambant neuf. Le budget n'est pas extensible sauf à augmenter plus encore la pression fiscale, outre la montée mécanique des taux. Les fenêtres commencent à fatiguer. Entre projet et réalité, la marge est grande pour les réalisations que sans nul doute, c'est la prochaine majorité qui devra les faire au prix d'un sacrifice sur les autres projets. Les dotations de l'Etat vous s'amoindrir car il n'est plus possible d'avancer au delà des critères des 3% alors que la France est loin d'y arriver. La notation AAA est bien loin et ce qu'il en reste risque encore d'être dégradé. Il faut tenir compte de ces réalités car se baser sur des subventions "possibles" n'est pas raisonnable car il va falloir se cadrer, au milimètre, pour les obtenir autrement que sur des promesses. L'exemple de la subvention perdue sur le terrain synthétique montre, ô combien, il est important de bien connaître l'ensemble. Rêver est permis mais lorsque le rêve s'achève, la réalité est présente. Il faut l'assumer.

6. Aux abords de route :

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Le cadre de vie tant espéré montre les limites où les incivilités sont grandes. Ici, les bouteilles en vrac, ailleurs des graffitis de toutes sortes sur les bâtiments publics sans que personne ne s'en soucie. S'il existe des récupérateurs de déchets ménagers sur la Commune gérés par la Communauté de Communes, force est de constater que l'amas de ces bouteilles aux abords de ces récupérateurs en bord de route montre que rien n'y fait. Il ne suffit pas d'augmenter de 11% la taxe des ordures ménagères pour que les choses s'arrangent. La vie n'est plus pareille où certains ne se reconnaissent plus dans son pays, sa région et sa commune. Au moment d'une présidentielle revêtue de la suppression de la taxe d'habitation, le sujet des incivilités était à l'ordre du jour avec ses priorités, assorties d'amendes. Tout cela est tombé dans les oubliettes. Ce n'est pas en taxant de plus en plus les habitants que l'ordre va se rétablir, c'est plutôt l'inverse. Au fond d'eux-mêmes, ils se disent : "où va l'argent". Cette photo montre une consommation importante d'alcool qui n'a rien de nouveau dans une commune qui comptait près de 70 bars dans les années 60, à la différence d'une consommation à domicile dont les recharges se sont en grande surface. Ces consommateurs n'ont même pas le courage d'aller les porter à la déchèterie.

7. Les graffitis :

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Ce coin de verdure, où jadis les touristes venaient poser leurs tentes pour passer quelques jours ou quelques semaines sur la Commune, n'est plus tristesse et désolation. Tout a été cassé par incivisme et non maitrise d'une situation qui perdure et grandit. Les graffeurs ont marqué de leurs empreintes ces lieux. Les projets de reconstruction ne sont pas suivi d'effet laissant toujours la main à ces études sans fin qui plombent le budjet. Les amateurs de photos ou des spécialistes ont fixé sur leur pellicule, disons plutôt sur leur carte mémoire, d'innombrables clichés qu'ils affichent sur les réseaux sociaux pour montrer l'incivisme ou l'abandon de certaines institutions. L'information circule à l'instant T où il est possible de la disposer en direct absolu. Cependant, la photographie est un art et s'il permet en direct de la voir, il n'est pas possible de la diffuser sauf à aller sur place quérir une identique. Ce coin est un théâtre de verdure où le spectacle ressemble à des temps de guerre. Il suffit de mettre la photo en noir et blanc pour s'y croire. Le réaménagement de l'ex-camping est prévu dans les projets de la municipalité. Réhabiliter cet espace devient primordial et s'il existe bien dans la nouvelle mouture de la modification allégée du PLU, il faut comprendre que ces travaux seront à prendre en charge par la nouvelle municipalité issue des urnes en 2026.

8. Un lavoir en souvenir :

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Dans un cadre où il fait bon prendre le temps de vivre, aux jeunes de s'amuser, aux manifestations de se produire, ce lavoir rappelle qu'il n'y a pas si longtemps, les femmes venaient laver leur linge à cet endroit, comme dans d'autres à Penarprat ou à Tréordo. La vie et le temps ont pris le dessus. Ce lavoir, toujours présent avec sa fontaine et son eau est recouvert de verdure, d'algues où les enfants ne vont pas forcément voir le danger. Ce lavoir, en dévers du terrain, voit des jeunes, des enfants s'y approcher seuls. Un cadre de vie agréable qui peut s'avérer un jour de cauchemar si l'on ne prend pas garde à le signaler dangereux. Le site est très fréquenté, à l'inverse des autres lavoirs dont celui de Penarprat qui s'est vidé de son eau. Cet endroit de verdure et de calme voit aussi se construire, à ses abords, près de 100 logements qui va amenuiser la tranquilité mais comme il s'agit de densifier le bourg, l'entassement se fera à son détriment. L'espace Raphalen, fort de son cadre actuel rappelle par ses bâtiments, que jadis l'appertisation des légumes et du poisson a fait vivre une grande partie de ses habitants.

9. Place du 19 mars 1962 :

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S'il est une date que les plonéouristes se souviennent c'est bien celle du 19 mars 1962. Nombreux d'entre eux sont partis vers ce département françois, 4 fois plus grand que la France où dans les villes et les campagnes, écrasées de soleil, les combats font rage entre la France et l'Algérie. Dans les années 1960, beaucoup de jeunes garçons scrutent ce conflit qui peut les amener vers ce pays combattre pour des raisons qu'ils ignorent. Les plonéouristes qui sont allés se souviennent encore de ces longs mois passés à ne pas savoir si un jour ils verront leur commune natale ou s'ils reviennent : dans quel état. Il y a forcément des séquelles physiques et des séquelles morales. Tout le monde se souvient de ce jeune parti vers l'Algérie et qu'à Batna, sa vie va s'arrêter en 1959. Je me souviens comme si c'était aujourd'hui d'autant que les terres de ses parents touchaient celles de mes parents. Pour ceux qui étaient présents avec lui ce jour du 30 mars 1959, m'ont raconté les circonstances dramatiques. Un jour de 2022, une personne me demande à quoi peut correspondre la rue de l'école au nom de Pierre Marie Riou. Je lui réponds que c'est le nom d'un soldat plonéouriste mort pour la France durant la giuerre d'Algérie. Une place, à Plonéour-Lanvern, porte la date des accords d'Evian mettant fin à ce conflit. La plaque est à peine lisible, dans un décor d'un autre temps, sur un mur mal entretenu. Pourtant c'est lieu où des jeunes et moins jeunes viennent très souvent puisque c'est la salle Omnisports. Au sol, les dalles disjointes où l'herbe pousse quand elle veut, où les abords ont perdu leur alignement, le tout faisant penser à un endroit désaffecté. Il est important que les lieux qui présentent un nom de mémoire soit suivi. Un coup de nettoyage à haute pression permettrait de lui rendre un visage beaucoup plus digne. C'est comme cela depuis quelques années. La plaque elle-même peut également voir son visage amélioré pour une visibilité digne à son titre.

10. Un lieu d'aisance :

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Prolonger sa promenade sur place du 19 mars 1962, à quelques mètres, le décor est à "avancer à reculons". Ce lieu d'aisance fréquenté, en principe, par les jeunes et moins jeunes de la salle Omnisports, présente des graffitis de tous genres, même obscènes. Les éléments mis à disposition sont cassés, certains ne fonctionnent pas quand l'une des portes destinée à la gente féminine est carrément barricadée. S'il est dit que ce bâtiment sera détruit, il faut comprendre qu'il n'est pas possible de rester détruire ce qui existe en bâtiments publics car un tel lieu peut servir, à condition de le remettre en état et de veiller à ce qu'il reste en bon état. Il existe des moyens pour sauvegarder les installations publiques face aux incivilités grandissantes de ces dernières années. Il ne suffit pas de construire un terrain de football flambant neuf, sans doute nécessaire et de délaisser les autres infrastructures existantes. Bien évidemment ce n'est qu'un petit aperçu. Le temps passe sans que certains bâtiments revivent mieux. Augmenter la population oblige à maintenir les bâtiments communaux dans un état normal et propre. Il ne suffit pas d'augmenter les impôts pour que les habitants disent : où va l'argent et à quoi il sert". Dans le projet d'aménager le bourg, il faut d'urgence remédier à ces problèmes afin de ne pas laisser une commuune dans un tel état pour la nouvelle équipe qui suivra car les élus ne seront plus les mêmes de part et d'autre. Dire : "Améliorer ou réfléchir à améliorer le cadre de vie local : équipements existants, déplacements doux, stationnement, énergie renouvelale"... ne suffit pas. Le mot "réfléchir" ne semble pas être retenu car la réflexion ne doit pas mener à l'entretien des existants et la modification du PLU ne semble pas non plus tenir compte d'autres impératifs ou réalités.

11. Un autre lieu :

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Dire : "Améliorer ou réfléchir à améliorer le cadre de vie local : équipements existants, déplacements doux, stationnement, énergie renouvelale"... ne suffit pas. Le mot "réfléchir" ne semble pas être retenu car la réflexion ne doit pas mener à l'entretien des existants et la modification du PLU ne semble pas non plus tenir compte d'autres impératifs ou réalités. Sur la place Amiral Ronarc'h, il y a ce lieu d'aisance qui a vécu avec le temps où le carrelage est cassé, une des portes est fermée car sans doute inutilisable. Des graffitis au mur montre un état bien triste où l'envie d'y aller se fait à reculons. La porte d'entrée a vécu vu son état et tous ceux qui voient ce décor se demandent pourquoi tous ces batiments publics sont délaissés ou mal entretenus quand d'autre part, la presse est invitée à des réceptions de nouveautés occultant qu'il est oublié toutes ces infrastrures qui ont pris de l'âge filant dans un état de délabrement. En face, il est prévu la construction d'une nouvelle cuisine centrale qui coûtera 2,6 millions d'euros sans savoir si la rentabilité d'un tel investissement n'affectera pas le budget. Si le contribuable est souvent une variable d'ajustement, il n'est pas certain que cela puisse perdurer car il risque de se fatiguer. Le bulletin de vote peut être une arme efficace pour mettre un coup d'arrêt à des dépenses dispandieuses.

12. Parking école ndbs :

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Le cadre de vie tant espéré ne cadre pas toujours avec la réalité. C'est le cas du parking de l'école Notre Dame de Bon Secours où chaque jour transitent près de 250 véhicules. L'usure du temps a fait que c'est davantage un chemin de terre avec des trous qu'un parking. C'est aussi la même chose sur le parking de l'Espace Raphalen. Il est vrai que les passages réguliers à ces endroits ont raison de ces revêtements. "Améliorer et réfléchir", telle était l'idée pour un cadre de vie meilleur. Il reste au sommet de la réflexion sans, peut-être, jamais poser pied à terre pour voir les ornières ou défections de ces endroits.

13. Parking école ndbs rénové :

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Le 1er septembre 2024, ce sont 300 élèves qui pris le chemin de l'école à Notre Dame de Bon Secours. Les parents ont eu l'agréable surprise de voir que le parking caillouteux plein d'ornières a été rénové. Cela donne un meilleur visuel à l'entrée de l'école. Certes ça a un coût mais il est impératif de soigner les existants au lieu de laisser le temps effectuer des dégats. Que cela serve d'idée et de réflexion sur les autres existants qui ont également besoin d'un coup de nettoyage ou de réfection.

14. L'espace de glisse Raphalen :

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Le 8 juin 2024, l'unauguration de l'espace de glisse Raphalen a lieu, en présence de 2 sénateurs du Finistère, des 2 conseillers départementaux du Canton de Plonéour-Lanvern, du maire de la Commune accompagné de quelques adjoints, des jeunes, et d'un public. Il n'a pas fallu 2 mois pour que cet espace de glisse soit recouvert de graffitis qui ne relèvent pas l'environnement. Ces dessins se retrouvent désormais dans bien des endroits alors qu'ils n'ont pas raison d'être. Plus haut sur cette page on les voit dans les lieux d'aisance, l'ancien camping municipal. Il y a d'autres endroits, comme l'ancien dancing et bien d'autres. Pour un lieu bien visité, c'est désordonné. Cela n'apporte rien sinon une moins-value au site sportif qui a un coût important. Les incivilités n'ont pas leur place dans une société qui se respecte. S'ils veulent démontrer leurs qualités d'artistes, il existe des supports pour cela et des endroits où ils pourront montrer leur art, un peu partout.

15. Un endroit déserté :

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Situé rue Jean Jaurès, à l'angle de la place du 19 mars 1962, cet endroit est laissé vacant avec rideau baissé, grille tirée et herbes débordantes comme à bien des endroits. Au moment où il est difficile de trouver un logement, un endroit pour installer sa petite entreprise, pourquoi ne pas mettre à profit ces bâtiments au lieu de le laisser à l'abandon, laissant une vue lassante sur un décor qu'il serait possible de mettre en noir et blanc. La rue Jean Jaurès avait un commerce à chaque maison partant de la salle de danse du Modern Dancing jusqu'au bout de la route jusqu'à la nommée route de Plogastel. Dans le projet du réaménagement du bourg, cette rue, comme d'autres, est destinée à avoir une circulation à sens unique dans le système de "tour en rond". D'une circulation compliquée, les automobilistes prendront les extérieurs pour éviter le bourg qui va se vider d'une partie passante au profit des déplacements doux comme piétons et vélos. Nous ne sommes plus au milieu du XXème siècle où ce système générait un flux constant de population tant pour les messes dominicales, les foires et marchés. C'était un autre temps où les habitants faisaient vivre leur bourg.

16. Les fenêtres de la mairie :

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Les fenêtres de la mairie ont subi les effets et l'usure du temps. Avec l'air salin, la pluie, le soleil ou la lune, les peintures sont parties laissant le bois supporter les aléas du temps. L'entretien ne semble pas au rendez-vous même si la municipalité a prévu, dans son programme, des aménagements de toute la maison commune. Les promesses électorales n'engagent que ceux qui les font souvent éloignées des capacités à les mener à bon port. Au programme des priorités tout ne pourra pas se faire. Les éléments extérieurs pourront les modifier. Compter sur des promesses de subventions peut tenir, à condition de se soumettre aux conditions drastiques à les obtenir. L'exemple de la subvention recalée, donc non obtenue, de la subvention régionale pour le invite à la prudence. Dès lors que la Région l'a supprimée, pour non conformité, montre l'impérieuse nécessité à ne pas s'engouffrer dans des réalités fictives. Un projet qui pourrait donc être mis en place par une nouvelle majorité à l'issue des élections municipales. Il devient urgent de remédier à l'entretien extérieur de la mairie sans pour autant lui annexer des travaux intérieurs.

17. Les allées du cimetière 2024 :

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Les allées du cimetière offrent un décor végétal dense. Il n'y aura pas d'autre solution que d'utiliser des débrousailleuses, comme l'an passé, dans ce jardin qui appelle au silence et au recueillement. Il a été vu, l'an passé, des personnes à effectuer ce nettoyage sous différentes formules : nettoyage à la main autour de chaque tombe puis nettoyage plus mécanique avec des débroussailleuses qui maculaient les tombes, surtout en périodes où les vannes du ciel s'ouvrent. Un nettoyage effectué dans une ambiance de fête avec un fond musical digne d'une kermesse. Hélas, le cimetière est un sujet trop préoccupant pour le laisser dans une telle situation. Il ne suffit pas de passer au zéro phyto en laissant cet espace fréquenté, être envahi par des herbes de toutes sortes et de toutes hauteurs. Il est vu également ce système d'herbe à l'espace Raphalen comme s'il n'y avait plus personne, comme jadis, à nettoyer. Le long du mur du cimetière, l'herbe pousse de la même manière.

18. Espace Raphalen :

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L'Espace Raphalen est un site incontournable pour toutes sortes de manifestations ainsi que pour la promenade, la détente des enfants sur l'espace dédié pour eux ou pour les sportifs dans l'espace jeux. Le site développant 7 ha a donc une exposition à valoir un espace valorisé pour permettre des activités de toutes sortes. Cet espace bien utilisé subi les aléas des allées et venues où les revêtements ont subi l'usure des fréquentations et du temps. L'herbe pousse également sur le bord de ces bâtiments au même titre que les murs du cimetière. Un petit coup de nettoyage ne serait pas inutile afin de rendre plus agréable le décor de cet espace. Les bâtiments municipaux sont nombreux et il est vu de nouveaux achats mais ne faudrait-il pas ne pas se couvrir d'un chapeau trop grand, à les laisser au gré du vent et du temps qui passe.

19. Entrée Espace Raphalen :

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Alors que l'adresse d'entrée a toujours été au 14 rue René Le Berre, voilà que désormais elle est située par le 11 rue Pierre Brossolette. Pour autant la plupart des entrées se font par le 14 rue René Le Berre, plus précisément le 14 ter. La largeur de cette entrée ne permet pas l'utilisation de cette rue compte tenu de son étroitesse. La vue a comme image des murs verdis et des accottements enherbés comme un peu partout. L'entrée se fera donc par la rue René Le Berre comme autrefois.

20. Vue Entrée Espace Raphalen :

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Lorsque l'on prend cette rue pour aller à l'espace Raphalen, la vue d'entrée montre un véhicule sans roue et des cellulaires posés sans utilité apparente. La route est abîmée et n'est pas en bon état tout comme le parking de l'espace Raphalen. Il appelle à des travaux de réfection donc une dépense logique à l'entretien des espaces publics inhérents à la Commune. Alors qu'il est prévu la construction d'une cuisine centrale dont le coût ne cesse d'augmenter, il est vrai que le budget n'est pas extensible sauf à trouver la variable d'ajustement qu'est le contribuable. L'espace Raphalen est un lieu très fréquenté qui doit laisser une image d'un site propre et convivial à toutes les personnes qui viennent et qui passent. En l'espace d'une seule journée d'élection législative 4 000 personnes sont venues donc un nombre important à arpenter le lieu. Il leur reste l'image de leur passage même fugace pour un souvenir accroché à leur mémoire.

21. L'ex camping municipal :

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Cette vue aérienne par P. Pichavant, montre le camping municipal dans un cadre de verdure qui permettait aux touristes, itinérants et autres, de séjourner dans la Commune de Plonéour-Lanvern. Cet espace arboré a permis à beaucoup de personnes de passer quelques jours ou quelques semaines, notamment aux habitués de camping, des personnes qui avaient ce qu'il fallait pour rester dans la Commune afin de lui apporter une plus-value commerciale et touristique. Le tourisme est un vecteur économique important. Il suffit de regarder autour de soi pour se rendre compte que même Tréguennec, petite ville de 300 habitants a un camping municipal et un camping privé. De cette vue magnifique que reste-t-il ? L'endroit est abandonné et même lors de la révision du PLU 2008 pour 2022, cet espace a été oublié. Pourtant il est placé dans le bourg puisqu'il est à quelques mètres du château d'eau, en prenant la route de Mariano. Jadis, sur ce terrain, des femmes de l'usine Aaphalen venaient parfois y travailler¨car il y avait des plantations. En 2024, pour une révision allégée du PLU, cet espace est proposé à un changement de destination. Actuellement, c'est davantage un spectacle de désolation qu'il est vu comme ces graffitis sur des murs cassés où la toiture a disparu. Toutes les installations sont détruites et cassées. Un réaménagement de l'ex-camping est en projet pour 2024.

22. Vue dans l'ex-camping municipal :

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Les informations et la communication voyagent à grande vitesse, ne serait-ce que par les réseaux et le numérique. A l'invite d'un internaute passionné par ses prises de vue dans bien des endroits, des photos arrivent par ce biais où le lecteur numérique trouve, en instantané de la publication, ce genre de décor. Il aurait pu être en "noir et blanc" pour faire référence à des temps plus anciens mais c'est bien de 2024 que les photographies s'affichent. De ces douches, il ne reste même plus les cloisons. Tout est cassé et brisé. Il faut bien comprendre que cela ne s'est pas fait tout seul. Il n'y a pas non plus de toit comme sur le bâtiment ci-après. Ces toits, jadis couverts d'éverite contenant de l'amiante, sont toujours sur le site. C'est un décor à l'opposé du terrain de football synthétique qui a été une priorité laissant cet espace de verdure se mourir tristement où l'espace tennis a besoin d'un renouveau qui semble s'attendre.

23. Le bâtiment brûlé de l'ex-camping :

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Ce bâtiment que l'on retrouve à gauche sur la vue aérienne, a été brûlé par des incivilités. Pour autant l'espace n'est pas sécurisé. Il y a accès par les quatre points cardinaux y compris au nord, donc sur la gauche de la photo, où il y a la route de Traon ar Lin, qui mène vers Mariano et le sentier "Train Carottes". A partir de cette route même, d'une simple grimpette le promeneur arrive y compris les enfants qui ont une énergie suffisante pour gravir de tels obstacles. Comme dit au paragraphe précédent, l'information circule vite mais il n'est plus besoin de se déplacer pour voir ces décors. L'intelligence artificielle munie de ses drones, de ses satellites, donne en direct l'aspect d'un lieu recherché. D'hier et d'aujourd(hui, une rubrique qui s'écrit pour montrer que les évolutions ne sont pas toujours conformes à ce qu'il est vu, de visu, que l'embellisement de certains quartiers par des constructions neuves, ne cadre pas du tout avec le reste. Ces constructions neuves vont vieillir et le temps lui sera le principal attaquant.

24. Les bâtiments cibles du temps :

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Ce batiment est vu chaque jour d'école poar tous les parents d'élèves qui viennent chercher leurs enfants à l'Ecole Notre Dame de Bon Secours. Il doit avoir une mixité puisqu'il y a une salle communale à l'endroit des portes vitrées. A cet endroit, jadis, les élèves arrivaient. Ce n'était pas une rue mais seulement l'entrée de l'école qui se faisait par la rue Charles Le Goffic, qui était d'ailleurs son adresse. Ce bâtiment est construit à la place de l'ancienne école qui avait cour sur la présente école. La cour s'est réduite aux enfants pour faire place à des constructions d'appartements tout proches. Or si l'idée de croître la population à 7400 habitants soit plus de 1000 en plus, il y aura des enfants à scolariser sauf si les nouveaux arrivants sont tous des retraités. Or cela c'est peu vraisemblable. Ce qui l'est moins c'est la capacité d'accueil de beaucoup d'autres élèves dans les écoles. Le mur de ce bâtiment, pas très ancien est déjà tâché de verdure et si l'on ne prend pas garde, la façade pourrait rejoindre l'aspect du bâtiment de la place du 19 mars 1962. Augmenter les infractures obligera à augmenter les services techniques de nettoyage. C'est tout simplement "mathématique'. Quant à la rue, elle a aussi vécu, et de l'usure du temps et de l'usure des passages. Ce n'est pas la trouée d'Aremberg, mais c'est la rue à "nids de poules" que les véhicules subissent y compris les vélos. C'est ainsi à partir du parking de l'école. C'est bon pour faire du "gravel".

25. A l'Esplanade des frères Méhu :

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En achetant la maison Le Gall, pour faire un espace de vie plus agréable au centre ville, l'autre achat de ce petit local de 20 mètres carrés pour aligner l'ensemble semble rester dans l'état, passé aux oubliettes. La rue Jules Ferry est un passage obligé des véhicules qui vont vers la capitale du Pays Bigouden. Le touriste qui arrive en découvrant ce visuel à quelques mètres de léglise paroissale se demande s'il ne rêve pas. D'ordinaire les entrées de ville sont fleuries, propres et accueillantes méritant de s'arrêter pour découvrir ce bourg. La vue de d'un tel décor n'invite pas à un arrêt et la rue devient un passage tout simplement. A l'inverse des quartiers résidentiels propres et biens entretenus s'installe une différence palpable entre les réalisations. Certes, ce sont des logements privés mais bien orchestrés dans un linéaire de propreté. Certes ce sont des constructions neuves qui, en prenant de l'âge, pourraient prendre le même chemin.

26. Face ouest de l'ancien dancing :

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Cette batisse se trouve en plein bourg puisqu'elle est la partie ouest de l'ancien dancing "les mouettes" devenu le "Charleston". C'est l'entrée "ouest" généralement empruntée pour les banquets, noces, servant aussi de sortie. Au temps de sa splendeur l'entrée se faisait de l'autre côté. Venant de la rue Henri Lautrédou dite aussi route de Saint Jean, artère principale menant au bourg, l'automobiliste a cette vue en face de lui. De plus à cet endroit c'est rue Pierre Brossolette qui mène vers la porte d'entrée de la Halle Raphalen, bien que les personnes habituées prennent le rond-point route de Pont-l'Abbé. La rue Pierre Brossolette mène aussi vers l'Ecole Notre Dame de Bon Secours, où plus beaucoup passent à cet endroit. Cette rue mène aussi vers les quartiers résidentiels où, à Kérallain, sortent de terre 90 logements qui augmenteront le flux routier. Dès l'achat, un projet de réhabilitation a été établi et présenté aux administrés lors des voeux de 2017. Depuis cette date, la situation est au même point où le projet semble lui aussi avoir pris un chemin différent, non pas qu'il soit abandonné mais il a une gestation multi éléphantesque redondante. Au bout de cet immeuble, un bar continue son exploitation mais tout le reste est dans un triste état intérieur. Le réaménagement du bourg a été programmé face à d'autres projets dits prioritaires mais excentrés du bourg où le passage n'a rien comparable. C'est un immeuble public qui stagne dans cet état.

27. Rue René Le Berre :

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En venant de Pont-l'Abbé, ou de la Halle Raphalen, en remontant vers le bourg, l'automibiliste, le cycliste ou le piéton a vue sur ce bâtiment que beaucoup de plonéouristes ont fréquenté car il a été, au début des années 1970, un petit magasin de proximité sous l'enseigne "VB Vert et Blanc", de la chaîne Suignard avant de déménager rue Henri Lautrédou toujours sous la même enseigne. Par la suite, ce bâtiment va devenir un garage toutes marques. Lorsque le garage va cesser son activité, rien ne viendra remplacer cet artisan. Depuis des années, ce bâtiment est abandonné alors qu'il pourrait servir à d'autres destinations au vu des manques de logements à Plonéour-Lanvern. Il sert aussi à recevoir quelques graffitis et les vitres du garage précédents ont été brisées comme à l'ex-camping, par des incivilités. S'il reste encore des carreaux, la vitrine est fermée avec des panneaux osb sans doute 3, pour éviter que ce local devienne un refuge de toutes sortes. En remontant vers le bourg l'automibilite a le droit à la vue de l'entrée de l'ancien dancing dans un état bien triste. De même, après le rond point de la Halle Raphalen, vers le bourg il y a une maison qui n'est plus habitée depuis 1989 sauf, peut-être, par des oiseaux pouvant pénétrer par les carreaux cassés.

28. Rue René Daniel :

Plonéour-Lanvern

Ce bâtiment est au centre bourg. Il ne peut pas être plus près car il est juste en face de l'église. Cette rue est la seule portant le nom d'un maire de Plonéour-Lanvern qui en fût l'édile pendant 41 ans, sans oublier qu'avant de l'être, en 1888, il officia comme secrétaire de mairie près de son père, Pierre-Jean DANIEL qui lui aussi fût maire durant 30 ans. Rue René DANIEL dont le nom reste attaché à la commune du fait de leurs mandats à la mairie. Ils habitaient Tréordo, René Daniel y est né. Ce bâtiment est une ancienne droguerie importante où étaient attachés divers corps de métier comme chauffagiste, électricité, sanitaires, plomberie, peinture. Un commerce florissant dans cette rue il y avait la maison de René DANIEL, négociant en vins et spiritueux. Aujourd'hui, un médecin exerce sa profession derrière ces vitres du bâtiment de la droguerie Kerdranvat. J'en parle dans mon ouvrage "Ma vie dans ma jeunesse" qui n'a cessé d'augmenter par ses pages compte tenu de l'actualité débordante à cette époque. La Commune est propriétaire où, en plus du médecin, il y a, à l'arrière un local associatif et aux étages, des chambres. Le visuel montre des murs verdis par le temps, un sol où l'herbe pousse comme un peu partout comme, à quelques mètres, à la place du 19 mars 1962, à l'angle de la rue Jean Jaurès. Une rue passante puisque face à l'église où il y a toujours des offices. Un petit nettoyage s'impose pour rendre plus attractif le bourg par un autre visuel que des murs vieillis par le temps. La ville n'est pas encore un musée des anciennes activités puisqu'il ressort un réaménagement mais le visuel verse vers le bas en attendant que le cheval couché soit relevé. Lorsque des priorités sont données à d'autres projets, parfois l'essentiel passe à côté de ce qui est important pour les administrés et tous les gens qui passent au Carrefour du Pays Bigouden.

 29. Place du 19 mars 1962 :

Plonéour-Lanvern

En face de l'espace de l'ex-stockage des produits du sol, il y a la place du 19 mars 1962 et la salle Multifonctions. Il est donc obligatoire à tous les usagers de cet espace de voir ce bâtiment extérieur qui servait de lieu d'aisance. Il est désormais barricadé pour éviter l'entrée et d'éviter les passants à voir ces graffitis dans ces lieux mal entretenus. Dire qu'il va être détruit c'est très expéditif comme solution au lieu de lui donner un coup de nettoyage. S'il fallait détruire tous les bâtiments parce qu'ils sont mal entretenus équivaudrait à dire "du neuf toujours du neuf" qu'importe les dépenses engendrées. En programmant un nombre d'habitants à 7400 il y aura lieu de prévoir une augmentation des infrastructures et servives en conséquence. Or, il semble déjà difficile de subvenir aux besoins actuels qu'il sera difficile de trouver des solutions pérennes. Puis comment décréter un nombre d'habitants sur des critères non existants. Alors si c'est pour créer et construire des habitations pour construire des logements dortoir, les autres services peuvent effectivement se soustraire à ces obligations. Sur cette photo il est encore vu l'herbe pousser sur un socle ce qui rend la propreté délaissée. Certes si c'est appelé à être détruit, rien n'empêche de nettoyer dans cette attente. Une intendance qui ne suit pas ou suit certains critères que les administrés ne savent pas.

 30. Cadre de vie :

Plonéour-Lanvern

Il suffit de gratter un peu pour se rendre compte qu'en-dessous il y a une route goudronnée il n'y a pas si longtemps. Le visuel est différent des rues des quartiers de la ville. Dire : "Améliorer ou réfléchir à améliorer le cadre de vie local : équipements existants, déplacements doux, stationnement, énergie renouvelale..." ne suffit pas. Pour "réfléchir" il faut d'abord avoir une vision globale de l'ensemble du territoire. Les élus sont-ils capables de le visionner dans leur disque dur de tête, toutes les particularités de chaque secteur, de chaque quartier : hélas non. Connaître une petite partie est une prouesse pour certains. Le PLU du 01.02.2022 a supprimé toutes les zones Nr qui laisse sans défense les propriétaires ayant auparavant ces zones. Ce n'est pas très cohérent. Au surplus, des zones constructibles ont sauté au profit d'un tableau excel servant à calculer l'espace agricole récupéré de façon "puzzle" où il est impossible à un tracteur de rentrer ou de manoeuvrer. L'espace agricole ainsi récupéré peut représenter une ferme par sa quantité mais les divers morceaux épars ne permettent pas grand chose sauf à faire monter un monde contre un autre. Le cadre de vie local ne consiste pas à favoriser une punition à ces habitations en milieu rural autorisées à la construction car elles n'ont pas été construites sans permis. Ces habitations diffuses sur le territoire sont très nombreuses et le risque de voir leur mode de communication vers leurs habitations, transformé en terrain boueux digne pour un cyclo cross ou un gravel. Le nombre d'exploitations est moindre pour une surface beaucoup plus grande avec des cultures intensives. La culture du maïs est grande parfois au ras des maisons comme dans bien des quartiers. C'est une cohabitation qui deviendra difficile s'il n'est pas respecté "le cadre de vie" tel que décrit au détriment de la sécurité des personnes et des biens. De plus, certaines sorties de champs sont faites sur des départementales, ce qui est interdit. La bonne règle est de nettoyer après avoir sali sinon il est entré dans un système d'incivilités admises sur le périmètre de la Commune. Etablir des règles n'est pas empêcher quiquonque de faire sa profession, c'est "améliorer le cadre de vie local", qui semble aller à "vau l'eau". Est-ce que cette boue pourra maculer le lotissement neuf de l'impasse de Stangoulinet ou la rue Marie de Kerstrat ?

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31. Météo de Plonéour-Lanvern sur 7 jours :

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