Plonéour-Lanvern Carrefour du Pays Bigouden

Mettre en mémoire la mémoire de sa ville est lui permettre de n'être jamais oubliée. Armand CARVAL

1. Lavoir espace Raphalen :

Plonéour-Lanvern

Fréquenté par de nombreuses lavandières ce lavoir, situé dans l'espace Raphalen, offre un spectacle de désolation aux promeneurs. Cette photo prise le 2 janvier 2025 montre l'évolution de ce lieu en 4 mois et demi. Il suffit de regarder cette photo prise le 14 août 2024. Du paysage, des branches sont tombées, oublié par le temps qui passe où on passe le temps à fouler un espace sensé apporter un peu de gaîté pour un bon visuel. C'est un espace de verdure qui a remplacé le bruit des machines, des camions et des personnes travaillant sur le site des établissements Raphalen, conserverie alimentaire. C'est le temps qui passe laissant un souvenir à ceux qui ont pu trouver le bonheur de travailler, à l'abri, parfois dans des conditions difficiles. Les femmes, après leurs journées de travail, trouvaient encore la force pour venir laver le linge dans cet endroit, ignorant qu'un jour, ce lavoir puisse se trouver dans cet état d'abandon. Par le temps qui passe l'horloge se serait arrêtée au milieu de l'écran.

2. L'étang de l'espace Raphalen :

Plonéour-Lanvern

Le temps qui passe est passé du lavoir vers l'étang. Jadis nu, cet étang s'est couvert d'arbres que le temps passe à faire tomber. Le décor se prolonge du lavoir pour venir se poser aux bords glissants pouvant faire boire une tasse pour l'éternité si l'on trépasse. Avec le temps qui passe, le lichen a grandi sur ces branches secouées par le vent. Debout, ils auraient pu, et ils l'ont fait, se mirer dans l'eau qui coule en traversant la ville. Cette eau qui vit remplit inlassablement cet étang qui, jadis, a servi à d'autres besognes. Débarassé de ces affres du passé, le temps qui passe lui a donné un aspect plus clair, moins lourd à supporter par les charges inutiles soumises dans ses bras. Des potages peluchants ont eu l'occasion de garnir sa surface mais avec le temps qui passe, il a retrouvé un visage plus noble à sa destinée logeant dans ses entrailles des poissons qui sont revenus pour ne pas être appertisés. L'eau sera limpide dans cet étang pour qu'ils vivent plus longtemps.

3. L'étang Raphalen illumine :

Plonéour-Lanvern

Par ce matin d'hiver le temps qui passe a fixé son regard sur cette vue où les arbres reflètent dans l'eau. La mousse et les pas des gens qui passent ont épousé le décor glissant que l'objectif ne peut montrer dans les bords en dévers de cet étang ayant grandi avec le temps qui passe. Le lierre a complété les feuilles manquantes jusqu'à étouffer la progression de l'existance de ces arbrisseaux ne demandant qu'à pousser pour donner ombrage aux promeneurs. Comme un lac, sans être majeur, il joue les mélodies parfois mineures où les larmes du ciel viendront compléter de leur immensité. Dans ce décor buccolique l'étang étale ses dangers à qui risquerait de vouloir toucher sa source de vie pour la lui enlever. On ne prend pas l'étang c'est l'étang qui prend la vie. Les artistes aux pinceaux pourront remplir leurs toiles alliant la nature aux mille couleurs. C'est la beauté du site qui illumine le temps qui passe sur un site qui a su regarder et fixer sa vie par souci de tranquillité dans cet espace verdoyant.

4. Entrée du bourg :

Plonéour-Lanvern

Dire : "Améliorer ou réfléchir à améliorer le cadre de vie local : équipements existants, déplacements doux, stationnement, énergie renouvelale.." ne suffit pas. Depuis des années, lorsque les automobilistes viennent de Pont-l'Abbé, ils ont d'office la vue de cet ancien dancing où les plus grandes vedettes du bal musette sont venues. Sur ces marches, jadis Augusto Baldi, Bruno Lorenzoni, Harry Williams (fils d'André Verschuren), Lili Ronarc'h, et d'autres grands noms, les pas de ces artistes les ont gravies. C'était aussi les mêmes marches pour les banquets de noce, des bals populaires où le maire d'autant, Alfred Jolivet, faisait vibrer son violon ou son saxo. Un lieu où la plus grande entreprise de la commune faisait son repas de fin d'année. Sur l'estrade le patron remettait les médailles du travail aux ouvriers et ouvrières. C'était un temps où la commune vivait avec ses commerces et ses entreprises. Il ne reste qu'à l'entrée, ce vestige abandonné aux caprices du temps. Le touriste remarquera toujours ce qu'il y a de négatif en balayant le positif. Il ne s'arrêtera donc pas.

5. Entrée du bourg :

Plonéour-Lanvern

Dire : "Améliorer ou réfléchir à améliorer le cadre de vie local : équipements existants, déplacements doux, stationnement, énergie renouvelale.." ne suffit pas. Depuis des années, lorsque les automobilistes viennent de Pont-l'Abbé, ils ont d'office la vue de cet ancien dancing où les plus grandes vedettes du bal musette sont venues. Le prolongement des marches d'entrée de la salle de danse, offre un spectacle extérieur que les plonéouristes, les touristes ne peuvent pas occulter car c'est la vision d'entrée et aussi de sortie de la ville. Aménager le bourg sans y mettre de la couleur le fera rester terne. Faut-il, pour donner un coup de nettoyage demander à des bureaux d'études, qui prennent cher, savoir comment faire. D'étude et en étude, de billet en billet, les études perdurent au plaisir de ces bureaux qui savent facturer qu'importe l'issue. Le visage du bourg s'est prolongé dans une vue peu agréable qui ne donne pas envie de s'y arrêter pour voir un bourg déserté de ses commerces qui se sont installés dans une zone de chalandise en périphérie sud de la commune. Il ne reste que ces murs tenant debout par habitude où les graffeurs s'amusent à décorer de différentes manières. La circulation ralentie à 30 kilomètres par heure permet aux visteurs de mieux savourer ces décors vétustes et non entretenus. L'âme a-t-elle disparu dans cette commune jadis prospère par ses entreprises. Les anciens savaient la tenir mais leur savoir a été oublié tout comme leurs noms que cerains tendraient à faire disparaître.

6. En plein bourg :

Plonéour-Lanvern

Dire : "Améliorer ou réfléchir à améliorer le cadre de vie local : équipements existants, déplacements doux, stationnement, énergie renouvelale"... ne suffit pas. Le prolongement vers le bourg amène à voir ce décor tout près de l'église. Des murs noircis par le temps, des pierres revouvertes de mousse et l'herbe qui pousse sans que personne ne se soucie. Des carreaux cassés de ce qui fut jadis un lieu d'aisance qui est aujourd'hui fermé. Il faut trouver un autre lieu pour se soulager d'une envie pressante sauf que c'est le parcours du combattant à la recherche d'un local. Pas de panneau pour le signaler. Cela ne donne guère envie de s'arrêter dans une ville où tout semble s'être arrêté par le temps. L'image de la ville s'est ternie ces dernières années. Il faudra tout remettre à plat pour permettre un cadre de vie plus agréable et que les habitants, outre de trouver une cité dortoir, puissent dire que la ville vit alors qu'elle se meurt.

7. Un lavoir en souvenir :

Plonéour-Lanvern

Dans un cadre où il fait bon prendre le temps de vivre, aux jeunes de s'amuser, aux manifestations de se produire, ce lavoir rappelle qu'il n'y a pas si longtemps, les femmes venaient laver leur linge à cet endroit, comme dans d'autres à Penarprat ou à Tréordo. La vie et le temps ont pris le dessus. Ce lavoir, toujours présent avec sa fontaine et son eau est recouvert de verdure, d'algues où les enfants ne vont pas forcément voir le danger. Ce lavoir, en dévers du terrain, voit des jeunes, des enfants s'y approcher seuls. Un cadre de vie agréable qui peut s'avérer un jour de cauchemar si l'on ne prend pas garde à le signaler dangereux. Le site est très fréquenté, à l'inverse des autres lavoirs dont celui de Penarprat qui s'est vidé de son eau. Cet endroit de verdure et de calme voit aussi se construire, à ses abords, près de 100 logements qui va amenuiser la tranquilité mais comme il s'agit de densifier le bourg, l'entassement se fera à son détriment. L'espace Raphalen, fort de son cadre actuel rappelle par ses bâtiments, que jadis l'appertisation des légumes et du poisson a fait vivre une grande partie de ses habitants.

8. Un décor changeant :

Plonéour-Lanvern

Les vieilles pierres du temps qui passe ont servi à construire des bâtisses dans les villages. Ces maisons aux murs larges construites pierre sur pierre ont bravé les tempêtes, passer des guerres. L'âme traditionnelle va disparaître avec le temps qui passe, comme ce lavoir oublié des temps où jadis les mains des femmes venaient battre le linge le long de son périmètre. Récupérer ces pierres peut être une solution pour bâtir sauf que bâtir dans ces coins devient impossible puisque sous l'assise de ces anciens bâtiments le terrain est réputé être agricole. Pour démolir il faut aussi une autorisation depuis 2007 et le droit de disposer semble être contraint. Dans certains coins les céréales poussent au ras des maisons car l'agriculture dit avoir besoin de terres oubliant que certaines sont laissées au soleil au profit d'une prolifération luxuriante d'arbres et d'un environnement classé nature. La population augmente par diverses combinaisons même si le temps qui passe a oublié les familles nombreuses et la main de ces hommes qui ont su monter ces habitations où dans leurs demeures il y a aussi le temps qui passe.

9. D'un lavoir à un autre : Tréordo vers Mariano :

Plonéour-Lanvern

Ce lavoir du temps qui passe construit en 1947 a vu les femmes du bourg descendre avec leur brouette de linge sec puis remonter la dure côte de Mariano avec un chargement de linge trempé sauf à l'avoir séché sur place. Ce lavoir, non dit municipal, voyait beaucoup de monde passer. En allant à l'école, chaque jour je passais sur le petit pont du sentier et, comme d'autres, je regardais le fond du lavoir où les femmes lavant les pantalons ou les vestes, laissaient choir quelques menue monnaie. Aujourd'hui il fait partie de ces vestiges abandonnés où les branches d'arbres ont eu raison de son décor comme le lavoir de l'espace Raphalen. Sans nul doute, c'étaient les mêmes femmes qui arpentaient ces lavoirs car lorsque l'un était saturé, elles basculaient sur l'autre. Un autre lavoir, non des moindres, est également présent du côté de Kergonda. Pour le temps qui passe à Tréordo, autre que celui-là, d'autres lavoirs existaient pratiquement dans toutes les fermes où les arrivées d'eau servaient à former une petite retenue pour pouvoir laver le linge. Sur un trépied la cuve d'acier, grosse bouilloire, servait à bouillir le linge où la lessive n'était autre que du savon coupé. A l'époque, la vedette n'était la mère Denis mais chacune de ces lavandières attachées à faire revenir l'éclat de l'essentiel aux habits.

10. Des plaques vieillies par le temps :

Plonéour-Lanvern

Les "ker" du coin ont perdu de leur éclat. Le touriste qui arrive dans ces endroits doit se dire qu'il y a un manque de nettoyage puisqu'avec le temps qui passe, si certains ont la vue basse, les plaques ont été oubliées comme bien d'autres éléments. La lecture d'une telle plaque oblige à se rapprocher mais, comme dans tout, le temps a fait son oeuvre. Il est vrai que le ciel a ouvert ses vannes pour un déluge habituel donnant un aspect d'abandon à la signalétique. Combien sont-ils capables de savoir où se trouve tel ou tel endroit si, en plus, les noms sont recouverts de verdure, la lisibilité est difficile. Ces coins épars ont eu une activité où les nombreux propriétaires se connaissaient pour travailler ensemble. Aujourd'hui les maisons en pierre, les granges et les étables ont laissé place à des destinations nouvelles afin de sauvegarder un patrimoine aimé de tous. Il est pourtant facile de redonner un éclat à ces plaques mais peut-être faudra-t-il du participatif pour le faire tout en essuyant des impôts supplémentaires.

10. Vole au vent :

Plonéour-Lanvern

La logique du temps qui passe fait que les maisons abandonnées ne sont pas armées à lutter contre les intempéries. Ici à Kéravel, cette maison, avec un bâtiment étoilé, avait été achetée aux enchères pour être rénovée en vue d'être louée comme des anciens bâtiments plus bas. Attenant à cette maison de Kéravel cet appenti voit ses ardoises voler au vent. Le nettoyage et la mise en oeuvre d'une restauration avait commencé dès l'achat, dans le but de restaurer qu'importe les raisons, a été contrarié par un droit de préemption agricole lancé par un agriculteur qui fait intervenir la safer. La préemption portait uniquement sur l'une des parcelles comprenant cet ensemble vendu aux enchères. En préemptant, il est forcé que la préemption porte, non pas sur une partie, mais sur l'adjudication elle-même comprenant donc la maison, la grange et le terrain. Depuis septembre 2021, la safer est devenue propriétaire au tapis vert d'une procédure judiciaire faisant aussi que le terrain présente un autre tapis vert que le temps qui passe fait grandir chaque jour et qui finira par donner ce décor dans un futur proche.

11. En bord de route :

Plonéour-Lanvern

Sur la route de Quimper, entre Tyer Douar et Kerprigent, cette ancienne maison recouverte de lierres ne représente qu'un temps qui passe malgré la mise en vente, il y a quelques années. Aucun acquéreur ne s'est manifesté pour l'acquérir où chaque jour les voitures ont un flux croissant vers divers endroits. J'ai vu cet endroit habité mais ça remonte à très loin disant que le temps a eu raison du toit, comme il aura aussi ici dans quelques années. Il est difficile de dire que la raison agricole pourrait se prévaloir à moins d'y mettre des abeilles à renifler les gaz d'échappement pour obtenir un miel chargé de particules nocives. Sans nul doute, cette ancienne maison disparaîtra du paysage visuel. Aujourd'hui, il est préféré des maisons neuves d'un autre style, adaptées à consommer moins d'énergie, dans un acccès plus facile. Des bâtisses de ce genre, il en existe sur le territoire, frappées par des obligations d'urbanisme qui freinent les plus audacieux.

12. Juste en souvenir :

Plonéour-Lanvern

Les ailes déployées de ce bâtiment vont se refermer définitivement, lassées par le temps qui passe d'un entretien inadapté à ses souffrances. Un design futuriste abritait différentes associations qui ont dû plier bagages vers d'autres horizons. Combien de personnes et de capitaines ont foulé ses entrailles, nul ne le saura précisément. Les équipages ont trouvé refuge dans un autre environnement dédié à leur déploiement sur la commune. Cette photo sera "collector" d'une année 2025 qui verra les pinces d'acier broyer sa structure pour faire place à une cuisine centrale pour les enfants des deux écoles ainsi que pour les communes desservies comme Tréguennec. Il est toujours possible de rénover des existants mais parfois les coûts et les usages préconisés ne sont pas adaptés. Le visage change comme tout le reste par le temps qui passe. Le ciel est gris et s'assombrit pour la vie de ce bâtiment qui verra sa fin très rapidement.

13. Il y a cinquante ans :

Plonéour-Lanvern

Ce bâtiment, cinquantenaire, est orphelin et vit sa solitude avec le temps qui passe alors que sa vie pourrait abriter ou loger des personnes en quête d'abri ou de logement. Dans la liste inexorable affrontée aux normes sans limites, cette maison à toit plat, subit les affres du temps. Le bois des fenêtres est usé où les armatures, faute d'entretien n'ont plus la force de s'ouvrir, l'huile n'ayant pas montrer son efficacité. L'addition des existants oubliés a un effet de délaissé pour des bâtiments en état d'abandon sur lesquels le lierre sait grandir sur leur façade souvent décrépi où parfois le toit montre ses entrailles. Avec le temps qui passe servir et créer du neuf est feindre la réalité qui rappelle que ces bâtiments ont aussi été neufs. D'habitude en lassitude, les regards des passants se figent sur ces oubliés du temps qui passe. Ils pourraient rejoindre les cimetières hapés par les mâchoires d'acier qui détruiraient leur vie. L'immensité des obligations des normes ne peut qu'avancer dans ce sens.

14. Les couleurs du temps :

Plonéour-Lanvern

Dans un écrin de verdure ce petit bassin recevant une eau miraculeuse aux vertus non écrites, affiche les couleurs du temps qui passe où le soleil donne un aspect plus clair au dépôt verdâtre de la mousse déposée rappelant les algues vertes d'un autre plus grand bassin qu'est la mer. Ici le niveau s'est affaissé montrant des pierres recouvertes de ces petites particules vertes. Les grenouilles habituées à patauger dans cette marre semblent avoir eu marre de venir danser autour de ces pierres séchées. Que la bonne nouvelle puisse arriver dans ce décor où sa traduction bretonne trouve toujours l'écho du temps qui passe. Ce bassin recouvert de verdure a perdu l'éclat de ses vingts ans, déprimé et oublié de la vie normale où l'eau qui jaillit de la fontaine pourrait lui donner un autre aspect et une autre vie. La nature a ses beautés qui reprennent le dessus lorsque les hommes les oublient. Les couleurs du temps qui passent revivent pour le bonheur de tous.

15. De verdure en grisé :

Plonéour-Lanvern

Il n'est pas besoin de beaucoup de temps pour se rendre compte qu'avec le temps qui passe, les maisons se ternissent. C'est "quid" des maisons neuves qui vont subir le même sort et résultat. En effet, ce bâtiment n'a pas encore 15 ans qu'il semble avoir vieilli un peu vite. Aménager le bourg pour lui donner un nouveau visage se conditionne par un ensemble cohérent où les couleurs du temps ne seront pas changées. Hélas, au carrefour du pays bigouden, au climat humide, aux pluies incessantes, la nature reprend ses droits de façon naturelle imposant à tous un chagement radical. Il ne suffit donc pas d'écrire des mots chanteurs alors que ces mots sont horreurs dans des maux que la société ne peut avaler. Jadis les peintres en bâtiments ravalaient les façades mais les prix s'éclatent au sommet sans que les propriétaires en fassent autant. A moins de faire soi-même, en passant avant chez casto ou brico quérir les pots de peinture et s'y risquer aux sommets des bâtiments.

16. Avec le temps qui passe certains oublient :

Plonéour-Lanvern

Ces colonnes de récupérations ont comme voisins des restes assez encombrants. Avec le temps qui passe, en plein bourg, certains habitants ont oublié que, dans une ville qui se veut embellie, les places ne sont pas des déchèteries. Le visuel laissé à la vue de tout le monde montre une ville en état d'abandon de civilités. Embellir le bourg passe par le besoin impérieux d'apporter une visibilité claire, avec un centre bien nettoyé, bien rangé. Dire que l'attractivité est essentielle passe par un choix crucial d'une commune bien tenue. Nous ne sommes plus dans les années 50 où, se relevant des années de guerre, les villes vivaient dans la misère. Il n'est pas possible de balayer ce temps avec celui qui passe en ignorant ce que les anciens ont construit que des jeunes veulent raser. Ceux qui ont su ingurgiter ces élixirs du bonheur, pour certains et des véritables tords boyaux, pour d'autres, devraient être capables de porter ces cadavres dans les endroits dédiés à moins d'être avinés dès le matin.

Cette page sera complétée

17. Météo de Plonéour-Lanvern sur 7 jours :

Crédits | Mentions légales | Contact | Plan du site
www.armandcarval.fr - © 1965 -